Hunter : une place dans la grand’messe
Le Salon du cheval de Paris se veut pluridisciplinaire. Après une trop longue d’absence, le hunter a eu droit cette année à une démonstration sur la grande carrière. Deux représentants du Centre étaient sur place, Serge Enout et sa fille Enora,
en compagnie d’une grosse poignée des passionnés que compte la chapelle du hunter.
Au micro, le président de la commission fédérale Jacques Robert donnait les explications nécessaires à la compréhension de la démonstration exécutée par une quinzaine de cavalières, toujours élégantes et en parfaite harmonie avec leurs montures sur les deux parcours proposés par Jean-Louis Collot, le spécialiste de la discipline bien connu en région Centre.
A l’issue de ses parcours (l’un de Hunter Equitation et l’autre de Style du cheval), Enora nous confiait ses appréciations : « Ce n’était pas une compétition, c’est plus cool. Quoique ce grand espace et la forte lumière donnent parfois l’occasion de passages délicats pour assurer une exécution sans faille. Au final, c’est impressionnant mais très intéressant ».
De son côté, Serge, qui apprécie toujours quand la discipline bénéficie du devant de la scène, conservait son droit de réserve : « Pour être plus convaincant auprès du public ou des instances, il nous faut préparer ce type de prestation plus longtemps à l’avance. C’est au cours d’une réunion de travail de techniciens fédéraux il y a quelques semaines que nous avons saisi l’opportunité de venir au Salon. Nous ne devons pas rester dans la confidence mais faire valoir mieux encore l’avancement du hunter et sa fiabilité en matière de technique équestre. Ces dispositions permettront d’élargir l’horizon de la discipline vers un plus grand nombre et pourquoi pas d’inscrire enfin son enseignement au cœur des futurs diplômes de cavalier ».
Jacques Robert, qui soutient cette thèse depuis longtemps, approuvait en précisant qu’il espère l’an prochain revenir sur les lieux avec cette fois une compétition en bonne et due forme.
C. R.
Au micro, le président de la commission fédérale Jacques Robert donnait les explications nécessaires à la compréhension de la démonstration exécutée par une quinzaine de cavalières, toujours élégantes et en parfaite harmonie avec leurs montures sur les deux parcours proposés par Jean-Louis Collot, le spécialiste de la discipline bien connu en région Centre.
A l’issue de ses parcours (l’un de Hunter Equitation et l’autre de Style du cheval), Enora nous confiait ses appréciations : « Ce n’était pas une compétition, c’est plus cool. Quoique ce grand espace et la forte lumière donnent parfois l’occasion de passages délicats pour assurer une exécution sans faille. Au final, c’est impressionnant mais très intéressant ».
De son côté, Serge, qui apprécie toujours quand la discipline bénéficie du devant de la scène, conservait son droit de réserve : « Pour être plus convaincant auprès du public ou des instances, il nous faut préparer ce type de prestation plus longtemps à l’avance. C’est au cours d’une réunion de travail de techniciens fédéraux il y a quelques semaines que nous avons saisi l’opportunité de venir au Salon. Nous ne devons pas rester dans la confidence mais faire valoir mieux encore l’avancement du hunter et sa fiabilité en matière de technique équestre. Ces dispositions permettront d’élargir l’horizon de la discipline vers un plus grand nombre et pourquoi pas d’inscrire enfin son enseignement au cœur des futurs diplômes de cavalier ».
Jacques Robert, qui soutient cette thèse depuis longtemps, approuvait en précisant qu’il espère l’an prochain revenir sur les lieux avec cette fois une compétition en bonne et due forme.
C. R.
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