Le Parc Equestre : idéal pour les stages
Lors des vacances scolaires, le Parc équestre fédéral devient le terrain de jeux et d’apprentissages pour des cavaliers de tous âges et tous profils. C’est le lieu idéal pour soutenir l’effort de formation des clubs et des cavaliers. Sa capacité d’accueil permet de voir se côtoyer les débutants comme les équipes de France dans toutes les disciplines, c’est aussi ce qui fait son charme. Il accueille en moyenne une quinzaine de clubs à chaque période estivale.
Faire découvrir de nouvelles disciplines
Venir en stage au Parc équestre fédéral permet aux moniteurs d’équitation d’initier leurs cavaliers à des disciplines qu’ils ne peuvent proposer dans leurs propres établissements. « Les cavaliers montent deux fois par jour à raison de deux heures par séance afin de profiter pleinement des installations et de prendre le temps de bien travailler leur cheval. Pour les plus confirmés, on les a emmenés sur la piste de galop, ça leur plaît beaucoup et ça leur permet d’avoir de belles sensations à cheval », raconte Margaux Camus, monitrice du poney-club d’Orléans.
« C’est la quatrième année que j’emmène mes élèves au Parc équestre fédéral. Au départ, j’ai fait la démarche de venir car je n’ai pas de manège chez moi. On profite des installations du Parc qui sont bien meilleures que chez moi. On essaie de faire de nouvelles activités qu’on ne fait pas à la maison. On a par exemple fait découvrir le hunter aux enfants en organisant un mini-concours avec les autres centres équestres en stage. Ça nous a aussi permis à nous enseignants de se perfectionner dans la discipline. On a mis le nez dans le règlement et on a pu compter sur l’aide de Claude Lanchais, Conseillère technique nationale en charge du hunter, pour nous initier. Pour nous enseignants, venir au Parc équestre fédéral c’est aussi l’occasion de se rencontrer et d’échanger sur les méthodes de chacun et c’est très enrichissant », déclare Céline Bouffard, monitrice et dirigeante des Écuries de Grace (76).
Responsabiliser les cavaliers
Les clubs de la FFE se déplacent en Sologne avec leurs élèves, une dizaine en moyenne, leur cavalerie et profitent ainsi des installations fonctionnelles mises à leur disposition par la FFE. C’est une manière pour eux de responsabiliser leurs cavaliers qui sont en charge de leur poney. « Ils ont leur poney attitré pendant une semaine, ils s’en occupent et ça les met en valeur », explique Myriam Deboudt, monitrice du poney-club d’Orléans.
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