A Jean Aubertot
Comme l’a dit ton fils, les « cabanes » de jury sont bien vides depuis ton départ. Celles de l’Etrier de Bourgogne et de Bonvaux venaient de l’être. Tes yeux pleins de larmes devant les listes des partants sur ton ordinateur exprimaient la
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passion qui t’avait animé dans l’organisation des concours.
Je me souviens avec beaucoup d’émotion de ton aide dans ma mission d’« entraîneur » des jeunes de notre ligue, les voyages de prospection dans la Nièvre au petit jour à la recherche d’un endroit pour boire un café; notre séjour au Touquet, environ 15 finalistes avec 18 ou 19 participants. Sans toi, je n’aurais pas pu avoir ces bons résultats.
Une de tes expressions : « Pas de passé, pas d’avenir », le tien a été rempli par toutes les actions utiles que tu as entreprises, l’avenir, tu l’as toujours laissé entrevoir positif aux gens qui t’ont côtoyé, dont j’ai eu la chance de faire partie.
François Franzoni
Je me souviens avec beaucoup d’émotion de ton aide dans ma mission d’« entraîneur » des jeunes de notre ligue, les voyages de prospection dans la Nièvre au petit jour à la recherche d’un endroit pour boire un café; notre séjour au Touquet, environ 15 finalistes avec 18 ou 19 participants. Sans toi, je n’aurais pas pu avoir ces bons résultats.
Une de tes expressions : « Pas de passé, pas d’avenir », le tien a été rempli par toutes les actions utiles que tu as entreprises, l’avenir, tu l’as toujours laissé entrevoir positif aux gens qui t’ont côtoyé, dont j’ai eu la chance de faire partie.
François Franzoni
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