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Attaquée sur sa politique de discrimination, la SHF traîne les pieds

Certains membres de la S.H.F. ont attaqué cette dernière devant le Tribunal de Grande Instance de Paris, au motif que les décisions adoptées pour le règlement des cycles classiques créaient une discrimination entre les membres en fonction du stud-book dans lequel est inscrit le cheval participant. Chaque membre paie la même cotisation, et le même prix d’engagement, sans pour autant pouvoir participer au même championnat et toucher le même niveau de gain. Ne souhaitant pas que le débat de fond soit abordé, la S.H.F. a demandé au Tribunal de Grande Instance de Paris de se dessaisir au profit du Tribunal Administratif. Cette manoeuvre grossière est destinée à gagner du temps, en refusant le débat sur le fond. En effet, les procédures administratives et particulièrement celles en indemnisation, sont beaucoup plus longues. La S.H.F. espère ainsi que les membres lésés se décourageront. Les demandeurs ne renonceront naturellement pas à faire valoir leurs droits légitimes et vont rapidement saisir le Tribunal Administratif de Paris. François Lévy

Certains membres de la S.H.F. ont attaqué cette dernière devant le Tribunal de Grande Instance de Paris, au motif que les décisions adoptées pour le règlement des cycles classiques créaient une discrimination entre les membres en fonction du stud-book dans lequel est inscrit le cheval participant. Chaque membre paie la même cotisation, et le même prix d’engagement, sans pour autant pouvoir participer au même championnat et toucher le même niveau de gain.

Ne souhaitant pas que le débat de fond soit abordé, la S.H.F. a demandé au Tribunal de Grande Instance de Paris de se dessaisir au profit du Tribunal Administratif.

Cette manoeuvre grossière est destinée à gagner du temps, en refusant le débat sur le fond. En effet, les procédures administratives et particulièrement celles en indemnisation, sont beaucoup plus longues. La S.H.F. espère ainsi que les membres lésés se décourageront.

Les demandeurs ne renonceront naturellement pas à faire valoir leurs droits légitimes et vont rapidement saisir le Tribunal Administratif de Paris.

François Lévy

09/12/2013

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