Avignon : que du bonheur
On aime un peu, beaucoup, passionnément. Avignon ne peut laisser indifférent. Au fil des ans, la complicité, la fidélité, la convivialité, la beauté n’ont jamais failli. On danse, on caracole, on joue et ça fait du bien.
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Les organisateurs annoncent à l’issue de l’événement une petite baisse des entrées générales ce qui n’étonnera personne par les temps qui courent. Ils affichaient toutefois 114 000 visiteurs qui se sont répartis sur la totalité des halls du parc des expositions où s’étaient installés 250 exposants fidèles. Dans les carrières se déroulaient des animations et des compétitions d’une rare diversité. En effet, entre les journées pédagogiques, les matches de horse-ball, les masters du cheval ibérique, l’attelage régional, les compétitions western, les shows de l’élevage, les séances de tri de bétail, il y en allait du goût de chacun qui croisait à tout moment des chevaux de tous horizons.
Dans la pure tradition de Cheval Passion, le grand hall accueillait les Crinières d’Or qui se sont quasiment déroulées à guichet fermé (25 000 personnes). Lors de cette édition, les présentations classiques revenaient au galop comme le numéro d’Alizée Froment, cavalière de dressage qui évoluait aux cotés du corps de ballet de François Mauduit ou encore la prestation des attelages menés par les deux comparses normands, Louis Basty et Fabrice Martin. C’était également l’occasion pour la Garde Républicaine de souffler les bougies de sa vingtième participation. La Garde présentait un « best off » de ses multiples talents. Les autres numéros du programme concocté comme à l’habitude par Maurice et Fabien Gall, offraient tour à tour harmonie, acrobatie, perfection, poésie, douceur, émotion, comme par exemple le numéro de Jean-François Pignon qui clôturait cette édition.
C. R.
Dans la pure tradition de Cheval Passion, le grand hall accueillait les Crinières d’Or qui se sont quasiment déroulées à guichet fermé (25 000 personnes). Lors de cette édition, les présentations classiques revenaient au galop comme le numéro d’Alizée Froment, cavalière de dressage qui évoluait aux cotés du corps de ballet de François Mauduit ou encore la prestation des attelages menés par les deux comparses normands, Louis Basty et Fabrice Martin. C’était également l’occasion pour la Garde Républicaine de souffler les bougies de sa vingtième participation. La Garde présentait un « best off » de ses multiples talents. Les autres numéros du programme concocté comme à l’habitude par Maurice et Fabien Gall, offraient tour à tour harmonie, acrobatie, perfection, poésie, douceur, émotion, comme par exemple le numéro de Jean-François Pignon qui clôturait cette édition.
C. R.
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