CCI grandeur nature
CCI**-CIC* Lignières-en-Berry (18) 1er-4 octobre Les accents d’un beau succès ponctuent la seconde édition de l’International de Lignières alors que Clayton Fredericks empoche le 2 étoiles et Nicolas Touzaint truste les première et quatrième places du 1 étoile.Sur un tour
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modifié, de nouveaux obstacles, une piste qui a reçu toutes les attentions nécessaires (sable et arrosage) depuis deux mois, les cent soixante-quatre couples au départ ont pu en découdre durant quatre jours. Ils en évoqueront le côté délicat du cross dans les difficultés concoctées sous la houlette de Pierre Le Goupil dès leur retour dans la zone d’arrivée. En effet, dans le CIC, où un bon lot avait sorti son épingle du jeu sans pénalité durant le CSO, les difficultés ont été avérées sur cette dernière étape en particulier pour les jeunes chevaux. Au total, une douzaine de prétendants ne finissent pas le tour alors que l’on notait la chute d’une des figures régionales, Mathieu Lemoine en compagnie de Pac du Payre. En l’état actuel des choses (blessure à la clavicule), le cavalier ne peut encore savoir s’il sera opérationnel pour le Mondial du Lion ce que serait évidemment une grande déception. Dans le peloton de tête, le positionnement restait stable. Nicolas Touzaint qui prenait les devants dès le dressage, conserve sa position avec Miss Wanted Fast qui effectue son parcours sans aucune difficulté. Le cavalier était déjà en tête l’an passé, mais entendons celui du CCI** en compagnie de Jocker d’Helby. Il place également Neptune de Sartène sur la seconde marche. S’il songeait par ailleurs occuper la totalité du podium, il est contré par Bernard Vuatoux et Opium de Blinière qui vient s’intercaler sur la troisième marche avant de retrouver un autre cheval sous la selle de Nicolas.
Un deux étoiles ?très convoité
Tous les yeux étaient rivés sur le cavalier Australien Clayton Fréderick, la star incontestée du concours complet alors que chacun tentait de savoir qui pourrait rivaliser. En compagnie de Bendigo, un cheval acheté l’an passé pour un de ses propriétaires et qui lui donne à ce jour toutes satisfactions, Clayton Fredericks se plaçait en seconde position au dressage, laissant la pôle position à la Suisse Esther Andress et Schwalbenprinz. Cette dernière sera hélas en difficulté sur le cross et voit ses espoirs s’envoler. Pour l’Australien la porte s’ouvre. Un cross et un CSO sans pénalité lui permettent de conserver les points acquis et de monter sur la première marche du podium. Alors qu’à l’issue du cross, la Britannique Laurence Hunt pointait en seconde position talonnée par les Bleus Mathieu Lemoine (Kiutys) et Jean Teulère (Matelot du Grand Val), les fautes commises sur le dernier test bousculaient la donne. Ainsi, les quatre points de Laurence Hunt et Mathieu Lemoine les relèguent respectivement aux 4e et 7e places alors que l’ adjudant Didier Willefert vient s’infiltrer avec Nessie de Preuilly sur la troisième marche à l’issue d’un parcours sans faille où sont conservés les points acquis au dressage (8e). Sur la seconde marche, Jean Teulère note que Matelot du Grand Val est au mieux de la forme et que cette étape aura été une excellente préparation en vue du CSI de Pau à la fin octobre.
L’an passé ce concours avait bénéficié en particulier de la venue d’une délégation Anglaise conséquente, faute de terrain accessible sur leur territoire. Le bouche à oreille a fait la suite. Cette année, trente-cinq chevaux avaient fait le déplacement et le cavalier Clayton Frédericks expliquait qu’il avait « entendu parler » de ce French Concours. Aujourd’hui, les avis semblent toujours positifs parmi les cavaliers des douze nations présentes, tant sur les conditions générales (le temps superbe offrait gracieusement sa petite touche supplémentaire) le potentiel d’accueil mais également sur le parcours qui s’est étoffé de manière très conséquente. Les réflexions iront certainement bon train du côté du Conseil Général et des partenaires pour envisager de voir plus grand, plus haut.
Catherine Roux
Un deux étoiles ?très convoité
Tous les yeux étaient rivés sur le cavalier Australien Clayton Fréderick, la star incontestée du concours complet alors que chacun tentait de savoir qui pourrait rivaliser. En compagnie de Bendigo, un cheval acheté l’an passé pour un de ses propriétaires et qui lui donne à ce jour toutes satisfactions, Clayton Fredericks se plaçait en seconde position au dressage, laissant la pôle position à la Suisse Esther Andress et Schwalbenprinz. Cette dernière sera hélas en difficulté sur le cross et voit ses espoirs s’envoler. Pour l’Australien la porte s’ouvre. Un cross et un CSO sans pénalité lui permettent de conserver les points acquis et de monter sur la première marche du podium. Alors qu’à l’issue du cross, la Britannique Laurence Hunt pointait en seconde position talonnée par les Bleus Mathieu Lemoine (Kiutys) et Jean Teulère (Matelot du Grand Val), les fautes commises sur le dernier test bousculaient la donne. Ainsi, les quatre points de Laurence Hunt et Mathieu Lemoine les relèguent respectivement aux 4e et 7e places alors que l’ adjudant Didier Willefert vient s’infiltrer avec Nessie de Preuilly sur la troisième marche à l’issue d’un parcours sans faille où sont conservés les points acquis au dressage (8e). Sur la seconde marche, Jean Teulère note que Matelot du Grand Val est au mieux de la forme et que cette étape aura été une excellente préparation en vue du CSI de Pau à la fin octobre.
L’an passé ce concours avait bénéficié en particulier de la venue d’une délégation Anglaise conséquente, faute de terrain accessible sur leur territoire. Le bouche à oreille a fait la suite. Cette année, trente-cinq chevaux avaient fait le déplacement et le cavalier Clayton Frédericks expliquait qu’il avait « entendu parler » de ce French Concours. Aujourd’hui, les avis semblent toujours positifs parmi les cavaliers des douze nations présentes, tant sur les conditions générales (le temps superbe offrait gracieusement sa petite touche supplémentaire) le potentiel d’accueil mais également sur le parcours qui s’est étoffé de manière très conséquente. Les réflexions iront certainement bon train du côté du Conseil Général et des partenaires pour envisager de voir plus grand, plus haut.
Catherine Roux
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