CSI-W de Bordeaux : une 5e étoile et plus de public
Interrogé sur son éventuelle participation à l’international de Bordeaux, du 6 au 8 février, le champion allemand Ludger Beerbaum n’a pas réfléchi longtemps : « Absolument ! » Point besoin de plus long discours : pour le gratin du saut d’obstacles
mondial, il va de soi d’inscrire Bordeaux au programme de la saison hivernale.
Et ces champions auront encore plus de raisons d’aimer Bordeaux cette année car, avec un an d’avance, le jumping passe cinq étoiles, statut qui sera obligatoire pour prétendre au label Coupe du Monde à partir de 2010. Pour ces cavaliers, cela veut dire que la dotation augmentera sensiblement puisqu’elle dépassera la barre des 320 000 € dès 2009.
Un autre champion, le Suisse Steve Guerdat déclarait récemment qu’il était plus gratifiant et plus valorisant pour un cavalier d’évoluer devant un vrai public plutôt que devant un parterre de tables VIP, « où les gens se soucient plus des cours de la bourse que de ce que nous faisons sur la piste». A Bordeaux, les cavaliers vont se sentir encore mieux que d’habitude puisque la capacité du hall 3 sera portée à 5 500 spectateurs avec l’aménagement d’un virage en tribune qui conférera à l’ensemble une allure d’arène. Et que Steve Guerdat se rassure, les convives des quelques tables ou VIP du concours sont également de vrais passionnés, comme l’ensemble des partenaires qui soutiennent l’événement depuis 1995, année de reprise par Congrès et expositions Bordeaux, ou tout comme le nouveau sponsor de cette Coupe du Monde, Rolex, indéfectible supporter des sports équestres.
Bordeaux se consolide, Bordeaux se bonifie : gérée avec un « bon sens paysan », l’unique étape française du prestigieux circuit Coupe du Monde a su traverser les ans. Etape Coupe du Monde de la première heure - en 1978 -, Bordeaux est l’un des quatre concours à être toujours inscrit au calendrier trente ans plus tard, avec s‘Hertogenbosch (Pays-Bas), Genève (Suisse) et Göteborg (Suède). Le jumping de Bordeaux appartient donc à l’histoire de cette fabuleuse épreuve et a l’avenir devant lui.
Sur le plan sportif, cette étape française sera palpitante. Après une impasse d’une olympiade, le CSO français redresse la barre : les Bleus ont fait un début de saison indoor tonitruant à l’instar de Pénélope Leprévost (3e à Lyon), Nicolas Delmotte (premiers points en Coupe du Monde) ou Michel Robert, n°8 mondial ce mois-ci et invité au très fermé Top 10 de Bruxelles. La France est redevenue la 4e nation mondiale et les troupes de Gilles Bertran de Balanda auront à cœur de le faire savoir. Et puis Bordeaux réussit bien aux Bleus puisque la Marseillaise a retenti à trois reprises au cours de ces sept dernières années.
L’autre point fort de Bordeaux est son côté festif grâce au salon Jumping l’Expo, espace où l’on aime à s’attarder, à flâner, à rencontrer (parfois même les champions) aménagé autour d’un paddock dont les abords sont ouverts au public. Des exposants pour tous les goûts : techniques pour les professionnels et les amateurs ou grand public sans oublier les bonnes tables.
Et ces champions auront encore plus de raisons d’aimer Bordeaux cette année car, avec un an d’avance, le jumping passe cinq étoiles, statut qui sera obligatoire pour prétendre au label Coupe du Monde à partir de 2010. Pour ces cavaliers, cela veut dire que la dotation augmentera sensiblement puisqu’elle dépassera la barre des 320 000 € dès 2009.
Un autre champion, le Suisse Steve Guerdat déclarait récemment qu’il était plus gratifiant et plus valorisant pour un cavalier d’évoluer devant un vrai public plutôt que devant un parterre de tables VIP, « où les gens se soucient plus des cours de la bourse que de ce que nous faisons sur la piste». A Bordeaux, les cavaliers vont se sentir encore mieux que d’habitude puisque la capacité du hall 3 sera portée à 5 500 spectateurs avec l’aménagement d’un virage en tribune qui conférera à l’ensemble une allure d’arène. Et que Steve Guerdat se rassure, les convives des quelques tables ou VIP du concours sont également de vrais passionnés, comme l’ensemble des partenaires qui soutiennent l’événement depuis 1995, année de reprise par Congrès et expositions Bordeaux, ou tout comme le nouveau sponsor de cette Coupe du Monde, Rolex, indéfectible supporter des sports équestres.
Bordeaux se consolide, Bordeaux se bonifie : gérée avec un « bon sens paysan », l’unique étape française du prestigieux circuit Coupe du Monde a su traverser les ans. Etape Coupe du Monde de la première heure - en 1978 -, Bordeaux est l’un des quatre concours à être toujours inscrit au calendrier trente ans plus tard, avec s‘Hertogenbosch (Pays-Bas), Genève (Suisse) et Göteborg (Suède). Le jumping de Bordeaux appartient donc à l’histoire de cette fabuleuse épreuve et a l’avenir devant lui.
Sur le plan sportif, cette étape française sera palpitante. Après une impasse d’une olympiade, le CSO français redresse la barre : les Bleus ont fait un début de saison indoor tonitruant à l’instar de Pénélope Leprévost (3e à Lyon), Nicolas Delmotte (premiers points en Coupe du Monde) ou Michel Robert, n°8 mondial ce mois-ci et invité au très fermé Top 10 de Bruxelles. La France est redevenue la 4e nation mondiale et les troupes de Gilles Bertran de Balanda auront à cœur de le faire savoir. Et puis Bordeaux réussit bien aux Bleus puisque la Marseillaise a retenti à trois reprises au cours de ces sept dernières années.
L’autre point fort de Bordeaux est son côté festif grâce au salon Jumping l’Expo, espace où l’on aime à s’attarder, à flâner, à rencontrer (parfois même les champions) aménagé autour d’un paddock dont les abords sont ouverts au public. Des exposants pour tous les goûts : techniques pour les professionnels et les amateurs ou grand public sans oublier les bonnes tables.
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