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Diversification

Le publi-reportage (vente aux enchères chez le président de l’ANSF) tombé dans les boîtes mail de ceux dont les adresses figurent dans le fichier ANSF n’a pas manqué de susciter quelques réactions et interrogations.Mais rien d’anormal dans tout cela, apparemment du moins. L’explication de Bernard Le Courtois est claire : « Par cette action je lance une idée nouvelle qui est de mettre à disposition des adhérents du SF et de nos partenaires tout ou partie du fichier de notre e-mailing pour annoncer des événements 100 % SF, cela bien sûr moyennant finance.

Un barème de tarification vient d’être établi par notre service marketing.

Dans une période où les aides de l’état diminuent de 25% par an nous devons trouver de multiples manières de financer notre association.

Celle-là pourrait peut-être en être une à condition que ces annonceurs respectent le cahier des charges. Un étalonnier dont certains étalons ne seraient pas SF ou approuvés par le SF ne pourrait évidemment pas en bénéficier.

En ce qui concerne la vente Brullemail elle correspond tout à fait aux critères que nous nous sommes fixés puisque c’est une vente publique exclusivement de SF Â».

Après tout pourquoi pas ? Dans cette période compliquée, les lignes bougent, les habitudes aussi. On peut concevoir que ce service (payant) réservé aux seuls partisans du SF entre dans le champ des possibles du stud-book. Une autre vente publique, du même type chez Albert Lebrun (élevage d’Or) est prévue en octobre. Ce sera une autre occasion de tester la transparence et l’efficacité du dispositif.

Deux évidences s’imposent : 1) le recentrage sur le SF, normal à l’ANSF, nettement moins à la SHF. 2) la diversification : après l’édition d’une luxueuse revue, l’entreprise commerciale avec le e-merchandising. Les éleveurs jugeront.

Etienne Robert 

13/06/2013

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