Edito du n°321 par Etienne Robert : Etre et bien-être
Nicolas Blondeau, autre grand témoin, pour qui la voix et le toucher sont primordiaux pour une relation heureuse préconise d’enseigner la culture équestre et des éléments de psychologie dans les formations.
Arnaud Boiteau dit la même chose quand il évoque le cheval athlète qui ne peut atteindre la performance que s’il est bien dans sa tête et dans son corps. Fort et pertinent plaidoyer de l’écuyer du Cadre noir dans une tribune publiée chez notre confrère Grand Prix.
Que deviendraient les chevaux si, comme le suggère l’antispéciste Nicolas Marty, on ne pouvait plus ni les monter ni travailler avec ? Quelle aberration !
« Lorsque les chevaux n’ont plus de fonction auprès de l’homme, les races concernées sont en péril » constate Gouraud. C’est bien ce qui se produit aujourd’hui avec la plupart des races de chevaux de trait.
Entre l’antispéciste animaliste radicalisé et le tout anthropomorphisme échevelé, il y a un large espace de confort, de liberté, de joie où le cheval est heureux avec l’homme. Et vice-versa.
E. R.
Vous devez être membre pour ajouter des commentaires. Devenez membre ou connectez-vous