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En 2017, la production de chevaux s’améliore en France.

+ 1% de naissances toutes productions confondues, + 5% en sport, + 2% de paris hippiques, + 11% de chiffre d’affaires en ventes de trotteurs, + 2 % de transactions en chevaux de selles. Les chiffres de la conjoncture de la filière équine montre de nets signes d’amélioration, selon la nouvelle Note Conjoncture sur la filière équine produite par l’Observatoire économique et social du cheval de l’Ifce.

En 2017, la production de chevaux s’améliore en France.
L’embellie concerne les naissances de galopeurs, de chevaux de selle et de poneys, mais la baisse se poursuit en races de territoires et en chevaux de trait. Sur le marché des chevaux de courses, les ventes aux enchères affichent de bons résultats en 2017, en galopeurs comme en trotteurs, mais la demande sur le marché intérieur est en recul.
A l’inverse, les transactions sur le marché intérieur de chevaux de selle, de poneys et de chevaux de trait sont en hausse en 2017.

Les importations sont en recul pour les chevaux de selle, les poneys et pour la première année en ONC également. Du côté des utilisations, les paris hippiques enregistrent une hausse après quatre années de baisse consécutives.
En équitation, la saison 2016-2017 s’est conclue par une nouvelle baisse du nombre de cavaliers licenciés accompagnée, pour la première fois, d’une baisse du nombre de cavaliers compétiteurs.
Côté viande chevaline, les effectifs de chevaux abattus en France s’annoncent à nouveau en recul marqué en 2017.

Note Conjoncture sur la filière équine : http://www.ifce.fr/wp-content/uploads/2018/03/OESC-Note-de-conjoncture_30.pdf

15/03/2018

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