Endurance - jour J : tout savoir sur le déroulement d’une épreuve
Ca y est. C’est le grand jour. Vous vous êtes décidés à engager votre bonne jument d’obstacle ou le poney de votre fille sur une course d’endurance à vitesse imposée de 20 kilomètres. Seul le galop 2 est exigé pour les cavaliers mineurs
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titulaires d’une licence club. Rien n’est exigé avec une licence amateur. Voilà quelques indications pour savoir, le jour J, à quoi vous attendre.
A son arrivée sur le site, le cavalier retire au secrétariat de la course son dossier dans lequel se trouvent son dossard, sa carte vétérinaire et, pour son équipe d’assistance, une carte du parcours ou un road-book. Il peut être utile de se renseigner à ce moment-là sur le type de balisage utilisé et le nombre exact de kilomètres des boucles empruntées afin de calculer à l’avance le chrono idéal à réaliser, et par conséquent l’heure d’arrivée de façon à respecter la vitesse minimum et maximum imposée.
Le cavalier peut ensuite présenter son cheval au contrôle vétérinaire initial muni de son livret signalétique ou de ses papiers d’identification (vérifier en amont qu’il est bien à jour de vaccins) et de la carte vétérinaire. Le cheval est présenté dessellé, sans protection sur les membres, en licol ou filet.
Une fois obtenu l’aval des vétérinaires qui auront pris soin de contrôler notamment le rythme cardiaque du cheval et ses allures, le cavalier peut aller préparer sa monture. Ses « suiveurs » font quant à eux le plein d’eau (bouteilles et seaux) pour pouvoir abreuver et rafraîchir le cheval tout au long du parcours, lors des points d’assistance prévus par l’organisateur.
Pour le cavalier, un horaire de départ est éventuellement indiqué par l’organisateur. Il est possible de courir seul ou en petit groupe.
Une fois sur la piste, bien suivre le balisage (plâtre, flèches ou autres panneaux) pour ne pas se perdre. Des panneaux généralement placés tous les 5 kilomètres permettent de contrôler sa vitesse. Attention aux traversées de route : même en compétition, les chevaux ne sont pas prioritaires sur les autres véhicules et doivent respecter le code de la route.
A son arrivée, le cavalier dispose d’une demi-heure pour desseller son cheval, l’abreuver, le rafraîchir avant de le présenter au vétérinaire. Il s’agit de le faire récupérer le mieux possible et d’obtenir ainsi une fréquence cardiaque basse. Il est possible de doucher les membres, l’encolure et les épaules. En cas de températures fraîches, on évite de mouiller les reins, le ventre et la croupe.
Lors du vet gate final, la fréquence cardiaque n’est pas le seul critère à être examiné. Le professionnel est attentif à une éventuelle déshydratation (pli de peau à l’encolure), examine la couleur des muqueuses oculaires, prend la fréquence respiratoire et le transit intestinal. Le vétérinaire peut regarder l’état des membres et du dos avant de faire un examen des allures (au trot) ou symétrie, souplesse et régularité du cheval sont primordiales. Ces renseignements sont reportés sur la carte vétérinaire du cheval.
A l’issue de la course, tous les chevaux et cavaliers ayant terminé l’épreuve à vitesse imposée et non éliminés pour raisons vétérinaires ou réglementaires sont qualifiés et donc classés.
A son arrivée sur le site, le cavalier retire au secrétariat de la course son dossier dans lequel se trouvent son dossard, sa carte vétérinaire et, pour son équipe d’assistance, une carte du parcours ou un road-book. Il peut être utile de se renseigner à ce moment-là sur le type de balisage utilisé et le nombre exact de kilomètres des boucles empruntées afin de calculer à l’avance le chrono idéal à réaliser, et par conséquent l’heure d’arrivée de façon à respecter la vitesse minimum et maximum imposée.
Le cavalier peut ensuite présenter son cheval au contrôle vétérinaire initial muni de son livret signalétique ou de ses papiers d’identification (vérifier en amont qu’il est bien à jour de vaccins) et de la carte vétérinaire. Le cheval est présenté dessellé, sans protection sur les membres, en licol ou filet.
Une fois obtenu l’aval des vétérinaires qui auront pris soin de contrôler notamment le rythme cardiaque du cheval et ses allures, le cavalier peut aller préparer sa monture. Ses « suiveurs » font quant à eux le plein d’eau (bouteilles et seaux) pour pouvoir abreuver et rafraîchir le cheval tout au long du parcours, lors des points d’assistance prévus par l’organisateur.
Pour le cavalier, un horaire de départ est éventuellement indiqué par l’organisateur. Il est possible de courir seul ou en petit groupe.
Une fois sur la piste, bien suivre le balisage (plâtre, flèches ou autres panneaux) pour ne pas se perdre. Des panneaux généralement placés tous les 5 kilomètres permettent de contrôler sa vitesse. Attention aux traversées de route : même en compétition, les chevaux ne sont pas prioritaires sur les autres véhicules et doivent respecter le code de la route.
A son arrivée, le cavalier dispose d’une demi-heure pour desseller son cheval, l’abreuver, le rafraîchir avant de le présenter au vétérinaire. Il s’agit de le faire récupérer le mieux possible et d’obtenir ainsi une fréquence cardiaque basse. Il est possible de doucher les membres, l’encolure et les épaules. En cas de températures fraîches, on évite de mouiller les reins, le ventre et la croupe.
Lors du vet gate final, la fréquence cardiaque n’est pas le seul critère à être examiné. Le professionnel est attentif à une éventuelle déshydratation (pli de peau à l’encolure), examine la couleur des muqueuses oculaires, prend la fréquence respiratoire et le transit intestinal. Le vétérinaire peut regarder l’état des membres et du dos avant de faire un examen des allures (au trot) ou symétrie, souplesse et régularité du cheval sont primordiales. Ces renseignements sont reportés sur la carte vétérinaire du cheval.
A l’issue de la course, tous les chevaux et cavaliers ayant terminé l’épreuve à vitesse imposée et non éliminés pour raisons vétérinaires ou réglementaires sont qualifiés et donc classés.
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