Eric Lelièvre : il a tué le championnat
Il fut de tous les podiums.
Excellent à 4 ans avec Dakota de la Violle (Tinka’s Boy-Robin Z), Très Bon avec Djerck de Laurvale (Newton de Kreijer-Nidor Platière).
2ème des Elite 5 ans femelle avec Carrera de Champloue (Balou du Rouet-Diamant) et 5ème Elite avec Cerise de la Violle, propre soeur de Dakota (voir ci-dessus), 2ème Très Bon avec Crazy Girl des Lotus (Tinka’s Boy-Elan de la Cour) souche de la Violle.
Dans les 5 ans mâles, Très bon avec Crésus de Champloue (Clinton-Diamant), finaliste avec Cheyenne de la Violle (Nabab de Rêve-Uta van Erpekom) .
6 ans : 2ème Elite mâle avec Bugano de Brekka (Ugano Sitte-Dollar du Murier) (4 parcours sans-fautes), 1er Excellent (juments) avec Brunetta de Champloue (Winbnigmood). Au total et en bref, un maximum de tours sans faute en finales et petites finales. Chapeau l’artiste que secondent « Gégé », son père, et deux jeunes stagiaires.
Son brio rejaillit forcément sur les éleveurs qui lui font confiance : l’élevage de Champloue de l’avocat de Langres Jean-Marie Charlot, par ailleurs chroniqueur juridique au journal Le Cheval, l’élevage vosgien de la Violle de Sandra Périni et Hugues Bonvalot, l’élevage des Lotus de Stéphanie et Eric Alexandre, cousin germain de la Violle par les souches maternelles (très convoitées les juments de 5 ans des Lotus), les élevage de Haute-Sâone de Cot Chat et de l’Aigle noir (Laurence Normand, Brigitte Masplat) propriétaires de nombreux chevaux, très convoités eux aussi, les élevages alsaciens des Tours de Rémy Krentz et d’Alsace de Christophe Rey.
D'entrée de jeu, il s’est imposé comme le meilleur. D’entrée de jeu, il a tué le championnat. Froid dans sa tête, déterminé, sans ostentation. Bosseur.
Etienne Robert
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