Humour équestre au rendez-vous
Toujours discrète mais l’œil aux aguets pour « saisir l’instant », Marguerite Breguet est aujourd’hui une artiste accomplie. Elle court d’expo en expo, affichant ses poneys rigolos, ses chiens farceurs et autres sujets dont l’humour nous
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imposent le sourire.
Certes, Marguerite Breguet est née au milieu des chevaux, au cœur de l’élevage familial de poneys Welshes, installé à Salbris. Mais ce statut particulier ne donne pas à tous le goût de reproduire à coups de crayon et de pinceau le quotidien sur fond de carrière, les temps forts de la chasse ou les cancans de paddock. Le choix de ses sujets rappelle volontiers, bien que beaucoup d’encre et de couleurs aient coulé depuis, les scènes rocambolesques qui couvraient les pages des petits ouvrages outre-manche signés par Thewell’s. Des poneys s’y offraient le luxe de facéties dont l’objet était sans aucun doute de se moquer sous cape des cavaliers en herbe.
La jeune artiste a justement découvert son habilité au cœur de Londres, alors qu’elle travaille pour parfaire son cursus d’étudiante. Elle crayonne de mémoire les frimousses de ses chevaux car ses derniers lui manquent terriblement. De retour au pays, elle décide de ne pas suivre la voie tracée par son école de commerce et laisse le pinceau prendre le dessus.
L’artiste est totalement autodidacte. Installée en bord de piste, à Lamotte-Beuvron par exemple, elle dessine sur le vif, faisant l’admiration des uns et provoquant chez les autres l’envie d’acquérir le dessin du jour. L’idée mûrit bientôt d’en faire une activité à part entière. Décidée à poursuivre l’aventure, Marguerite se donne alors une année pour percer, n’hésitant pas à faire des petites expositions, les marchés alentours et autres lieux où les badauds aiment à glaner l’œuvre inédite.
Depuis quatre ans, elle a fait son chemin et peint des multitudes de poneys et chevaux tous plus malicieux les uns que les autres. Mais d’autres animaux occupent sa toile, tels les perroquets de la maisonnée ou les incontournables Jack Russel qui animent les alentours de la compétition. L’horizon des expositions s’est élargi au fil des saisons : avec entre autres le Generalli Open, le Salon de Paris, La Baule, Vierzon, Cuts. Après un séjour outre Atlantique où elle a croqué les couples en piste sous la bannière étoilée, elle est revenue avec des idées nouvelles plein la tête.
Catherine Roux
Infos et photos complémentaires sur http://breguetpeinture.free.fr.
Certes, Marguerite Breguet est née au milieu des chevaux, au cœur de l’élevage familial de poneys Welshes, installé à Salbris. Mais ce statut particulier ne donne pas à tous le goût de reproduire à coups de crayon et de pinceau le quotidien sur fond de carrière, les temps forts de la chasse ou les cancans de paddock. Le choix de ses sujets rappelle volontiers, bien que beaucoup d’encre et de couleurs aient coulé depuis, les scènes rocambolesques qui couvraient les pages des petits ouvrages outre-manche signés par Thewell’s. Des poneys s’y offraient le luxe de facéties dont l’objet était sans aucun doute de se moquer sous cape des cavaliers en herbe.
La jeune artiste a justement découvert son habilité au cœur de Londres, alors qu’elle travaille pour parfaire son cursus d’étudiante. Elle crayonne de mémoire les frimousses de ses chevaux car ses derniers lui manquent terriblement. De retour au pays, elle décide de ne pas suivre la voie tracée par son école de commerce et laisse le pinceau prendre le dessus.
L’artiste est totalement autodidacte. Installée en bord de piste, à Lamotte-Beuvron par exemple, elle dessine sur le vif, faisant l’admiration des uns et provoquant chez les autres l’envie d’acquérir le dessin du jour. L’idée mûrit bientôt d’en faire une activité à part entière. Décidée à poursuivre l’aventure, Marguerite se donne alors une année pour percer, n’hésitant pas à faire des petites expositions, les marchés alentours et autres lieux où les badauds aiment à glaner l’œuvre inédite.
Depuis quatre ans, elle a fait son chemin et peint des multitudes de poneys et chevaux tous plus malicieux les uns que les autres. Mais d’autres animaux occupent sa toile, tels les perroquets de la maisonnée ou les incontournables Jack Russel qui animent les alentours de la compétition. L’horizon des expositions s’est élargi au fil des saisons : avec entre autres le Generalli Open, le Salon de Paris, La Baule, Vierzon, Cuts. Après un séjour outre Atlantique où elle a croqué les couples en piste sous la bannière étoilée, elle est revenue avec des idées nouvelles plein la tête.
Catherine Roux
Infos et photos complémentaires sur http://breguetpeinture.free.fr.
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