Interview de Serge Lecomte, président de la FFE : il faut savoir raison garder…

Pourquoi un tel tollé ?
Nous sommes tous angoissés par cette situation inédite, par la peur d’un après inconnu, tous plus ou moins manipulés par les politiques. Mais tout de même, un peu de tenue derrière l’anonymat des signatures. Serge Lecomte a dit d’autres choses dans cet entretien. Celui qui permet à des milliers de jeunes de s’exprimer à cheval chaque été à Lamotte Beuvron ne mérite pas un tel traitement. Il serait bon que ceux qui soufflent sur les braises de l’anti-le-comtisme primaire se calment. La période n’est pas encore au debrief.

Certains m’ont reproché d’avoir publié ce « brûlot ». D’autres sont allés jusqu’à demander un droit de réponse…

Aux censeurs, je dis que mon métier, c’est d’informer. J’essaye de le faire le plus honnêtement possible.

Gardons nos forces pour demain.

Etienne Robert

 

« Le bruit ne fait pas de bien… »

« La parution le 24 04 2020 sur le site « lecheval » de mon interview téléphonique a généré des interprétations que je souhaite lever avec les précisions suivantes.

Évidemment, chacun sait que je suis un fervent adepte des poneys et qu’il ne s’agit pas de pointer du doigt les propriétaires d’un « cheval de petite taille ».

Mon objectif était, par des propos imagés, de montrer que la préoccupation de santé publique collective face à cette pandémie inédite doit primer sur les aspirations individuelles, même si elles sont compréhensibles.

La grande majorité des cavaliers ont une attitude remarquable et ont su trouver les solutions adaptées avec les dirigeants des établissements qui les accueillent en y mettant chacun du sien pour vivre au mieux cette période de confinement.

L’équitation, bien unie au sein de notre fédération qui défend sans cesse toutes ses composantes, a besoin de comportements positifs et collectifs pour assurer sa crédibilité.

Si le bruit ne fait pas de bien, le bien ne fait pas de bruit et c’est dans cette démarche que s’inscrit l’action fédérale.

Bien sincèrement à chacun de vous. »

Serge Lecomte