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La Grande-Bretagne en or

Skelton, avec son flegme habituel, avait annoncé la couleur à Chantilly: "Participer ne m'intéresse pas", avait-il prévenu. Je vais aux JO pour gagner". Mission accomplie pour l'acte 1, la Coupe des Nations. Photo 1 sur 7  A l'issue d'un fantastique barrage avec les Pays-Bas, la bande à Skelton réalise trois sans-faute sur quatre avec les meilleurs temps et s'accroche l'or autour du cou. Sur la 3ème marche du podium, l'équipe d'Arabie Saoudite, moins brillante que la veille mais toujours bien dans le coup. On ne voit pas bien maintenant ce qui pourrait empêcher Nick Skelton de se parer de l'or en individuel. Mais c'est une autre histoire qui se joue là puisque tous les compteurs sont remis à zéro.Enorme parcours que cette troisième qualificative. Les sans-faute y furent rares. Le premier fut signé Meredith Beerbaum avec un point de temps, le second par son compatriote Marcus Ehning/Plot Blue, net dans le temps. L'affront allemand était presque lavé. Les Bleus ont eu moins de réussite mais tous les trois sont qualifiés pour la finale. Simon et Olivier font chacun 8 pts, Kevin, 4 pts. Ce qui est inquiétant à ce moment précis c'est que les Français n'ont pas réussi à sortir de sans-faute. Tous sont déterminés à, eux aussi, laver cet affront de la Coupe. Reste que les trois premiers finalistes, Nick Skelton/Big Star, Van der Vleuten/Verdi et Marc Houtzager/Tamiro pour la Hollande n'ont pas touché une barre depuis le début des Jeux. L'or individuel est peut-être à chercher là. Il se dit dans les allées de Greenwich Park que le haras des Coudrettes cherche à acquérir les deux chevaux de tête de Nick Skelton.Le staff fédéral joue la carte de la sérénité et de l'espoir dans une ambiance pas franchement débridée.« C'est une énorme déception d'arrêter la compétition par équipe dès la première manche, indique Pascal Dubois. La rêne de Simon qui casse, c'est de la malchance. Après cela, la pression était très forte pour une équipe jeune qui faisait ses premiers Jeux Olympiques. Le nombre d'équipes compétitives à ce niveau ne cesse d'augmenter et ce sport exige de réunir de multiples paramètres, technique, cheval, cavalier, mental.Maintenant, il reste à se motiver pour la finale individuelle. »E. R.
Skelton, avec son flegme habituel, avait annoncé la couleur à Chantilly: "Participer ne m'intéresse pas", avait-il prévenu. Je vais aux JO pour gagner". Mission accomplie pour l'acte 1, la Coupe des Nations. ACTU_jo_CSO_equipes_anglaisPhoto 1 sur 7
 
A l'issue d'un fantastique barrage avec les Pays-Bas, la bande à Skelton réalise trois sans-faute sur quatre avec les meilleurs temps et s'accroche l'or autour du cou. Sur la 3ème marche du podium, l'équipe d'Arabie Saoudite, moins brillante que la veille mais toujours bien dans le coup. On ne voit pas bien maintenant ce qui pourrait empêcher Nick Skelton de se parer de l'or en individuel. Mais c'est une autre histoire qui se joue là puisque tous les compteurs sont remis à zéro.
Enorme parcours que cette troisième qualificative. Les sans-faute y furent rares. Le premier fut signé Meredith Beerbaum avec un point de temps, le second par son compatriote Marcus Ehning/Plot Blue, net dans le temps. L'affront allemand était presque lavé. Les Bleus ont eu moins de réussite mais tous les trois sont qualifiés pour la finale. Simon et Olivier font chacun 8 pts, Kevin, 4 pts. Ce qui est inquiétant à ce moment précis c'est que les Français n'ont pas réussi à sortir de sans-faute. Tous sont déterminés à, eux aussi, laver cet affront de la Coupe. Reste que les trois premiers finalistes, Nick Skelton/Big Star, Van der Vleuten/Verdi et Marc Houtzager/Tamiro pour la Hollande n'ont pas touché une barre depuis le début des Jeux. L'or individuel est peut-être à chercher là. Il se dit dans les allées de Greenwich Park que le haras des Coudrettes cherche à acquérir les deux chevaux de tête de Nick Skelton.
Le staff fédéral joue la carte de la sérénité et de l'espoir dans une ambiance pas franchement débridée.« C'est une énorme déception d'arrêter la compétition par équipe dès la première manche, indique Pascal Dubois. La rêne de Simon qui casse, c'est de la malchance. Après cela, la pression était très forte pour une équipe jeune qui faisait ses premiers Jeux Olympiques. Le nombre d'équipes compétitives à ce niveau ne cesse d'augmenter et ce sport exige de réunir de multiples paramètres, technique, cheval, cavalier, mental.
Maintenant, il reste à se motiver pour la finale individuelle. »

E. R.
06/08/2012

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