L’Agence Pompadour : c’est fini

relationnelle. « Il m’était devenu impossible de travailler avec la responsable du pôle hippique. Les gens de l’ANAA n’ont pas compris l’intérêt d’ouvrir cette vente aux chevaux de sport comportant une forte ascendance anglo. La collaboration avec les responsables de la grande semaine a été des plus décourageantes alors que la vente 2008 qui nous a coûté 100 000 euros demandait un soutien financier promis, certes, mais aussi un soutien moral. Cela dit, cette vente fut un succès par le professionnalisme de l’équipe et le courant commercial engendré. Je suis un homme de contact. J’aime les rapports francs. Ce n’est plus le cas donc j’arrête » nous déclarait le premier des deux François qui, dans une lettre adressée aux co-organisateurs de Pompadour, s’explique sur sa décision.

« Mais je rebondirai sur un autre projet, précise celui qui est aussi président de la Chambre syndicale. Ce ne sont pas les idées qui me manquent ».

Ce qui risque fort de manquer maintenant, c’est bien cette activité commerciale qui donnait du rythme à Pompadour et en faisait un lieu de rencontres d’une grande qualité.

Etienne Robert