Le Grand Prix de Vittel (CSI*) Ã Bertrand Darier
CSI* Vittel (88) 18-20 juin C’est l’hymne suisse qui a conclu l’international de Vittel avec la victoire de Bertrand Darier/Belem D dans le Grand Prix 140.Ils étaient une trentaine a avoir pris le départ de cette épreuve dessinée par Bill Juliac et Sébastien Salmon.
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Très sélectif ce parcours dont ne sortiront que quatre sans-faute : le Franco-Suisse et mécène Bertrand Darier/Belem D, un puissant et stylé fils de Toulon de 8 ans, les Lorrains Romain Schaeffer/Addison (Alcatrad) du domaine de la Forge à Falck, Stéphanie Hennequin/Luron de Lothain (Kashmir) pénalisés d’un petit point de temps dépassé, vainqueurs de la 130 de l’Orée du Bois et Yann Hanselmann/Matahari (Baloubet de Rouet) écartés du barrage pour 3 points de temps. Le barrage à deux tourna à l’avantage de l’expérimenté et pugnace Bertrand Darier, seul double sans-faute, Romain Schaeffer fautant sur le 4. Bill avait tablé sur cinq ou six barragistes sur cette bonne piste de Vittel. Ses combinaisons et un temps assez court en ont décidé autrement. Les trois Kannan engagés dans l’épreuve sont aux flots : Paille de la Roque/Stéphane Frey, 5e, Psychée d’Amont/Guillaume Roland Billecart 7e et Naska/Sonia Finkel 9e. Fidèle à Vittel depuis le début des CSI, Olivier Jouanneteau fut de toutes les épreuves et quasiment classé partout, de Ma P’tite Lulu, la fille d’Uéleme par Quidam à l’étalon gris Norman Pré Noir (Carthago) et Nina de Lunain (Quick Star).
Format plaisant que cet international qui rassembla les meilleurs cavaliers de la région mêlés aux délégations belge, suisse, luxembourgeoise et israélienne avec Sonia Finkel. Les cavaliers du Grand National de Complet en ont profité pour tester leur jeunes chevaux ou remettre dans le bain leurs chevaux de tête. Ce fut le cas pour Didier Dhennin/Ismène du Temple, Nicolas Touzaint/Neptune de Sartène, Stanislas de Zuchowicz/Mistral de Sciotot et Maxime Livio/Opium de Verrières. Né en Lorraine à l’élevage de Gérard et Nicolas Pargon, Néro du Jardin (Haloubet de Gorze-Prince du Logis) est revenu sur ses terres sous la selle du garde républicain Fabrice Lucas. Le cheval fut, comme beaucoup d’autres de sa génération, éliminé sur le cross. Du Jardin au Jardinot, il n’y a qu’un pas : l’occasion de revoir Manon du Jardinot (Totoche du Banney) née chez René Hilaire, sous la selle de la plus jeune cavalière du concours, Mathilde Hen Hieber, 15 ans, de Moselle, coachée par Gilles Clanget.
Après le cross du Complet, ils furent une douzaine à s’affronter sur la 6 barres du CRE de Lorraine. Une Marseillaise pour conclure grâce à l’adresse de Guillaume Roland Billecart et son agile Shreck Denfer (Stakkato) au score vierge après le 4e barrage à 1,90 m Autres Marseillaise avec Grégory Rulquin/Kronos d’Evordes dans le Prix Vittel pour le Cheval, avec les Le Grel Eric et Quentin, père et fils venus de la Sarthe dans la 130 de l’Hotel d’Angleterre (doublé fils et père) et dans la 125 du Prix Fleury (père 1er, fils 3e). Trois Brabançonne ensuite avec les victoires d’Eric Lombard/Noa de Talma (Nidor Platière) dans la 130 du conseil général des Vosges, de son épouse Pascale/Cocinnelle Z (Carthago Z) dans la 135 du Casino de Vittel et Pascal van Laethem/Brigandine de Mai (Sirocco des Sables).
Convivial ce concours que les hautes flammes promotionnelles du Grand National ont contribué à égayer. Remarquable et efficace organisation menée de mains de maître par Jean Morel, l’homme orchestre de la FFE omniprésent sur tous les circuits du Grand National. Coup de chapeau aussi à Catherine, la décoratrice de l’espace restauration. C’était du meilleur goût.
Etienne Robert
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Format plaisant que cet international qui rassembla les meilleurs cavaliers de la région mêlés aux délégations belge, suisse, luxembourgeoise et israélienne avec Sonia Finkel. Les cavaliers du Grand National de Complet en ont profité pour tester leur jeunes chevaux ou remettre dans le bain leurs chevaux de tête. Ce fut le cas pour Didier Dhennin/Ismène du Temple, Nicolas Touzaint/Neptune de Sartène, Stanislas de Zuchowicz/Mistral de Sciotot et Maxime Livio/Opium de Verrières. Né en Lorraine à l’élevage de Gérard et Nicolas Pargon, Néro du Jardin (Haloubet de Gorze-Prince du Logis) est revenu sur ses terres sous la selle du garde républicain Fabrice Lucas. Le cheval fut, comme beaucoup d’autres de sa génération, éliminé sur le cross. Du Jardin au Jardinot, il n’y a qu’un pas : l’occasion de revoir Manon du Jardinot (Totoche du Banney) née chez René Hilaire, sous la selle de la plus jeune cavalière du concours, Mathilde Hen Hieber, 15 ans, de Moselle, coachée par Gilles Clanget.
Après le cross du Complet, ils furent une douzaine à s’affronter sur la 6 barres du CRE de Lorraine. Une Marseillaise pour conclure grâce à l’adresse de Guillaume Roland Billecart et son agile Shreck Denfer (Stakkato) au score vierge après le 4e barrage à 1,90 m Autres Marseillaise avec Grégory Rulquin/Kronos d’Evordes dans le Prix Vittel pour le Cheval, avec les Le Grel Eric et Quentin, père et fils venus de la Sarthe dans la 130 de l’Hotel d’Angleterre (doublé fils et père) et dans la 125 du Prix Fleury (père 1er, fils 3e). Trois Brabançonne ensuite avec les victoires d’Eric Lombard/Noa de Talma (Nidor Platière) dans la 130 du conseil général des Vosges, de son épouse Pascale/Cocinnelle Z (Carthago Z) dans la 135 du Casino de Vittel et Pascal van Laethem/Brigandine de Mai (Sirocco des Sables).
Convivial ce concours que les hautes flammes promotionnelles du Grand National ont contribué à égayer. Remarquable et efficace organisation menée de mains de maître par Jean Morel, l’homme orchestre de la FFE omniprésent sur tous les circuits du Grand National. Coup de chapeau aussi à Catherine, la décoratrice de l’espace restauration. C’était du meilleur goût.
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