Le Monde a été médaillé à Lexington
JEM Lexington (USA) 24 septembre-10 octobre Les premiers Jeux Equestre mondiaux hors d'Europe n'ont pas couronné un seul continent. De l'Arabie Saoudite au pays organisateur, les récompenses sont aujourd'hui rapportées dans les quatre coins du Monde.
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Un dressage pas si sageÂ
Les stars du dressage n'ont pas failli, bon sang ne saurait mentir, ou presque. Car la vedette du dressage hollandais, Parzival (hongre, N°6 mondial), monté par Adelinde Cornelissen, s'est vu éliminer dès le deuxième jour de la compétition. Les raisons de la désillusion : la présence de sang dans la bouche. Un évènement qui entraîne de fait l'expulsion de la compétition pour le bien être du cheval qui, pourtant ne s'était, « que » mordu la langue. Ne restait plus qu'aux « oranges » l'espoir d'une reprise parfait de la part du dernier couple à passer, le magique Edward Gal et son cheval Moorlands Totilas, pour pouvoir espérer transformer l'argent de 2006 en or, médaille également à la portée des anglais.
Mais, comme à Windsor, lors des championnats d'Europe, les Hollandais n'ont pas cédé à la pression et remportent le titre 2010 par équipe (à trois donc), devant des Anglais remontés (Laura Bechtolsheimer et Mistral Hojris déroulent la meilleure reprise de leur carrière en obtenant ?82,511 %). Les Allemands, champions du Monde en titre, prennent donc la troisième place et ce, malgré une moyenne très honorable pour Isabell Werth et Warum Nicht FRH (75,404 %).
En individuel, la bataille s'annonçait rude. Pour rappel il y a deux épreuves avec deux podiums différents en individuel : un pour la RLM et un autre pour le Grand Prix spécial. Mais ici, à Lexington, il n'y a eu qu'un seul vainqueur dans les deux catégories : Edouard Gal et Totilas, le couple favori qui avait obtenu à Windsor un historique 90,750 % dans la Kür. Mais ici ils ont fait encore mieux avec 91,8 % dans la RLM ! Une réciprocité des résultats qui se retrouve dans les deux catégories pour l'argent et le bronze avec les couples Laura Bechtolsheimer/Mistral Hojri et Steffen Peters/Ravel qui complètent les podiums. Edouard Gal et Totilas entrent dans l'histoire puisqu'ils sont les premiers à remporter les trois médailles durant des jeux mondiaux.
Une française 4e. Et oui, à Lexington se déroulaient les premières épreuves para-équestres sur des Jeux équestres mondiaux. Et notre cavalière Céline Gerny prend la quatrième place grâce à une note de 72,100 %. L'autre française, Valérie Salles, est quant à elle 11e.
CSOÂ : le rendez-vous mondial
Durant toute la fin de semaine de ces Jeux Mondiaux de CSO, n'importe quel quidam se serait pris au jeu des pronostics. Si le podium par équipe (Allemagne, France, Belgique) est la parfaite illustration que les cavaliers européens sont en forme, l'individuel a réservé un podium bien plus « mondial ».
Partie avec peut être un peu de zèle la France (Patrice Delaveau/Katchina Mail, Olivier Guillon/Lord de Theize, Kevin Staut/Silvana de Hus et Pénélope Leprevost/Mylord Carthago HN) a manqué d'un peu de chance lors des premiers parcours. Mais elle a su se reprendre, et avec les parcours parfaits de Kevin Staut et Olivier Guillon, l'argent a été à leur portée. Au total, les Allemands, vainqueurs par équipe, écopent de 17,80 pts alors que la France en recueille ?23,32 et la Belgique (en bronze) 24,70 ! Suivent le Brésil (26,49 pt) et le Canada (27,93).
Avec cette superbe performance, l'équipe de France est qualifiée pour les JO de Londres. Mais, revers de médaille, aucun des équipiers n'arrivera à réitérer une telle performance pour intégrer la finale à quatre. Olivier Guillon est néanmoins le premier Français dans le classement (14e) suivi de Kevin Staut (15e) de Pénélope Leprevost (22e) et de Patrice Delaveau (26e).
Quant à la tournante, elle consacre la maturité et ... la Belgique ! Avec 9 parcours sans-faute Philippe Le Jeune devance le Saoudien Abdullah Al Sharbatly (jeune homme de 28 ans qui vient notamment d'acheter Mélodie Ardente?) et le champion olympique en titre Eric Lamaze. Un Belge chasse donc un autre Belge sur le podium (Jos Lansink en 2006). A noter que tous les cavaliers ont pour point commun la Belgique : Philippe Lejeune de nationalité, Rodrigo Pessoa de résidence et Eric Lamaze et Abdulla Al Sharbatly sont tout deux installés au Haras de Wisbecq, lorsqu'ils sont en Europe?
Des épreuves de complet très délicates
Si les anglais sont passés à quelques points d'accrocher une médaille d'or par équipe en dressage, ils ont bien réussi à conquérir le Graal en complet. L'équipe composée William Fox-Pitt, Mary King, Nicola Wilson et Kristina Cook, devance l'équipe canadienne et la Nouvelle-Zélande. Les français, sans Nicolas Touzaint/Tatchou (blessés avant la compétition) et également avec l'absence de Jean Teulère, prennent une huitième place alors qu'ils visaient une place dans les cinq premiers (Maréchal-des-logis-chef Donatien Schauly, Arnaud Boiteau, le capitaine Stanislas de Zuchowicz et Pascal Leroy).
Le titre individuel revient à Michael Jung et la Biosthetique Sam, devant le Britannique William Fox-Pitt avec Cool Mountain(déjà en or par équipe), et le Néo-Zélandais Andrew Nicholson avec Nereo. En individuel, la meilleure performance est signée Pascal Leroy et Minos de Petra, qui terminent au vingtième rang. Quant à Karim Florent Laghouag, qui ne courrait que pour le titre individuel, il lui est arrivé la même mésaventure qu'à la dresseuse hollandaise : il a été éliminé pour cause de sang dans la bouche de son cheval (morsure à la lèvre)?
Un Looser en or et Andréani en bronze
La voltige a donné de la grâce et de la hauteur à ces jeux mondiaux. Et ce n'est pas pour déplaire au clan tricolore, qui, grâce à Nicolas Andréani, ramène d'outre-Atlantique, une médaille de bronze. Comme le dira le sélectionneur national de la discipline*, « Nicolas paie très cher son erreur de début sur le programme imposé. Les trois meilleurs voltigeurs mondiaux sont sur le podium. On les attendait tous, mais on ne savait pas dans quel ordre. Patric Looser a été le plus régulier. En terme de points, Nicolas termine à rien du tout de la médaille d'or. On savait que ça se jouerait à la gagne. Nicolas remporte déjà les deux programmes libres, c'est très bien. [?]Nicolas, Marina et Idéfix ont fait un super boulot. ». Devance le français, le Suisse Patric Looser (or) alors que l'argent revient à Kai Vorberg (All).
Quant à l'équipe, ce fut une réelle déception puisqu'elle finit à la cinquième place. Les deux chutes du dernier programme libre leur ont été fatales. Une expérience douce-amère que notre Christopher Robin Krause (9 ans), le plus jeune compétiteur de ces JEM, ne sera cependant pas prêt d'oublier !
*source FFE
Attelage : on sabote mais les favoris tiennent
L'attelage, c'est une épreuve d'obstacles (celle des cônes), du dressage et de la maniabilité. Et à ce petit jeu, la France n'avait pas une grande délégation puisque Stéphane Chenouzoux était seul. Toutefois, il arrive à se hisser à la 15e place.
Il faut savoir que deux hommes se partagent pour ainsi dire le gâteau mondial, en attelage : Ijsbrand Chardon (49 ans, Hollandais)) d'un côté puisqu'il est recordman de titres mondiaux. Et Boyd Exell (Australien), de l'autre, actuel N°1 de la discipline depuis deux saisons.
C'est une drôle d'histoire qui s'est passée sur cette discipline, durant ces JEM, car juste avant son marathon Ijsbrand Chardon retrouve sa voiture vandalisée. Bon sportif, Boyd Exell lui propose la sienne (la même). Mais il préfère réparer sa voiture et remporte tout de même la médaille d'or par équipe. Les Etats-Unis et l'Allemagne suivent sur le podium.
Au final, c'est tout de même l'Australien, Boyd Exell, qui domine le Hollandais (Ijsbrand Chardon) sur l'individuel. Un Américain complète la troisième marche du podium.
Alix Thomas
Intensification des échanges franco-américains lors des Jeux Equestres Mondiaux - En route pour 2014 !
Une délégation d'une quinzaine de membres du Pôle a fait le déplacement aux Jeux Équestres Mondiaux au Kentucky (USA) parmi une centaine de français, chefs d'entreprise des filières équine et agroalimentaire, chercheurs, représentants du tourisme et représentants institutionnels. Cette forte présence a renforcé la visibilité de la France dans le secteur équin.
A cette occasion, le Pôle de compétitivité Filière équine et son équivalent américain « equine initiative » ont signé vendredi 8 octobre 2010 un « Partnership Agreement » qui a pour objectif de renforcer les liens développés depuis 2007 en organisant des échanges réguliers sur des sujets communs, ciblés autour de la recherche, l'innovation et le développement des compétences.
Les 10 entreprises membres du Pôle, participant à l'opération, ont réussi à engager des relations de business sur cet immense marché américain. la mission a permis de découvrir ce marché et d'y repérer de réelles opportunités !
Au travers de réunions de travail entre les chercheurs français et américains, les collaborations existantes ont pu être renforcées et de nouveaux projets devraient voir le jour dans les domaines stratégiques du Pôle (santé, bien-être et performance des équidés).
En résumé, un premier succès sur les pas des championnats du monde de 2014 où la France devra pouvoir afficher son haut niveau d'innovation et de compétitivité.
Les stars du dressage n'ont pas failli, bon sang ne saurait mentir, ou presque. Car la vedette du dressage hollandais, Parzival (hongre, N°6 mondial), monté par Adelinde Cornelissen, s'est vu éliminer dès le deuxième jour de la compétition. Les raisons de la désillusion : la présence de sang dans la bouche. Un évènement qui entraîne de fait l'expulsion de la compétition pour le bien être du cheval qui, pourtant ne s'était, « que » mordu la langue. Ne restait plus qu'aux « oranges » l'espoir d'une reprise parfait de la part du dernier couple à passer, le magique Edward Gal et son cheval Moorlands Totilas, pour pouvoir espérer transformer l'argent de 2006 en or, médaille également à la portée des anglais.
Mais, comme à Windsor, lors des championnats d'Europe, les Hollandais n'ont pas cédé à la pression et remportent le titre 2010 par équipe (à trois donc), devant des Anglais remontés (Laura Bechtolsheimer et Mistral Hojris déroulent la meilleure reprise de leur carrière en obtenant ?82,511 %). Les Allemands, champions du Monde en titre, prennent donc la troisième place et ce, malgré une moyenne très honorable pour Isabell Werth et Warum Nicht FRH (75,404 %).
En individuel, la bataille s'annonçait rude. Pour rappel il y a deux épreuves avec deux podiums différents en individuel : un pour la RLM et un autre pour le Grand Prix spécial. Mais ici, à Lexington, il n'y a eu qu'un seul vainqueur dans les deux catégories : Edouard Gal et Totilas, le couple favori qui avait obtenu à Windsor un historique 90,750 % dans la Kür. Mais ici ils ont fait encore mieux avec 91,8 % dans la RLM ! Une réciprocité des résultats qui se retrouve dans les deux catégories pour l'argent et le bronze avec les couples Laura Bechtolsheimer/Mistral Hojri et Steffen Peters/Ravel qui complètent les podiums. Edouard Gal et Totilas entrent dans l'histoire puisqu'ils sont les premiers à remporter les trois médailles durant des jeux mondiaux.
Une française 4e. Et oui, à Lexington se déroulaient les premières épreuves para-équestres sur des Jeux équestres mondiaux. Et notre cavalière Céline Gerny prend la quatrième place grâce à une note de 72,100 %. L'autre française, Valérie Salles, est quant à elle 11e.
CSOÂ : le rendez-vous mondial
Durant toute la fin de semaine de ces Jeux Mondiaux de CSO, n'importe quel quidam se serait pris au jeu des pronostics. Si le podium par équipe (Allemagne, France, Belgique) est la parfaite illustration que les cavaliers européens sont en forme, l'individuel a réservé un podium bien plus « mondial ».
Partie avec peut être un peu de zèle la France (Patrice Delaveau/Katchina Mail, Olivier Guillon/Lord de Theize, Kevin Staut/Silvana de Hus et Pénélope Leprevost/Mylord Carthago HN) a manqué d'un peu de chance lors des premiers parcours. Mais elle a su se reprendre, et avec les parcours parfaits de Kevin Staut et Olivier Guillon, l'argent a été à leur portée. Au total, les Allemands, vainqueurs par équipe, écopent de 17,80 pts alors que la France en recueille ?23,32 et la Belgique (en bronze) 24,70 ! Suivent le Brésil (26,49 pt) et le Canada (27,93).
Avec cette superbe performance, l'équipe de France est qualifiée pour les JO de Londres. Mais, revers de médaille, aucun des équipiers n'arrivera à réitérer une telle performance pour intégrer la finale à quatre. Olivier Guillon est néanmoins le premier Français dans le classement (14e) suivi de Kevin Staut (15e) de Pénélope Leprevost (22e) et de Patrice Delaveau (26e).
Quant à la tournante, elle consacre la maturité et ... la Belgique ! Avec 9 parcours sans-faute Philippe Le Jeune devance le Saoudien Abdullah Al Sharbatly (jeune homme de 28 ans qui vient notamment d'acheter Mélodie Ardente?) et le champion olympique en titre Eric Lamaze. Un Belge chasse donc un autre Belge sur le podium (Jos Lansink en 2006). A noter que tous les cavaliers ont pour point commun la Belgique : Philippe Lejeune de nationalité, Rodrigo Pessoa de résidence et Eric Lamaze et Abdulla Al Sharbatly sont tout deux installés au Haras de Wisbecq, lorsqu'ils sont en Europe?
Des épreuves de complet très délicates
Si les anglais sont passés à quelques points d'accrocher une médaille d'or par équipe en dressage, ils ont bien réussi à conquérir le Graal en complet. L'équipe composée William Fox-Pitt, Mary King, Nicola Wilson et Kristina Cook, devance l'équipe canadienne et la Nouvelle-Zélande. Les français, sans Nicolas Touzaint/Tatchou (blessés avant la compétition) et également avec l'absence de Jean Teulère, prennent une huitième place alors qu'ils visaient une place dans les cinq premiers (Maréchal-des-logis-chef Donatien Schauly, Arnaud Boiteau, le capitaine Stanislas de Zuchowicz et Pascal Leroy).
Le titre individuel revient à Michael Jung et la Biosthetique Sam, devant le Britannique William Fox-Pitt avec Cool Mountain(déjà en or par équipe), et le Néo-Zélandais Andrew Nicholson avec Nereo. En individuel, la meilleure performance est signée Pascal Leroy et Minos de Petra, qui terminent au vingtième rang. Quant à Karim Florent Laghouag, qui ne courrait que pour le titre individuel, il lui est arrivé la même mésaventure qu'à la dresseuse hollandaise : il a été éliminé pour cause de sang dans la bouche de son cheval (morsure à la lèvre)?
Un Looser en or et Andréani en bronze
La voltige a donné de la grâce et de la hauteur à ces jeux mondiaux. Et ce n'est pas pour déplaire au clan tricolore, qui, grâce à Nicolas Andréani, ramène d'outre-Atlantique, une médaille de bronze. Comme le dira le sélectionneur national de la discipline*, « Nicolas paie très cher son erreur de début sur le programme imposé. Les trois meilleurs voltigeurs mondiaux sont sur le podium. On les attendait tous, mais on ne savait pas dans quel ordre. Patric Looser a été le plus régulier. En terme de points, Nicolas termine à rien du tout de la médaille d'or. On savait que ça se jouerait à la gagne. Nicolas remporte déjà les deux programmes libres, c'est très bien. [?]Nicolas, Marina et Idéfix ont fait un super boulot. ». Devance le français, le Suisse Patric Looser (or) alors que l'argent revient à Kai Vorberg (All).
Quant à l'équipe, ce fut une réelle déception puisqu'elle finit à la cinquième place. Les deux chutes du dernier programme libre leur ont été fatales. Une expérience douce-amère que notre Christopher Robin Krause (9 ans), le plus jeune compétiteur de ces JEM, ne sera cependant pas prêt d'oublier !
*source FFE
Attelage : on sabote mais les favoris tiennent
L'attelage, c'est une épreuve d'obstacles (celle des cônes), du dressage et de la maniabilité. Et à ce petit jeu, la France n'avait pas une grande délégation puisque Stéphane Chenouzoux était seul. Toutefois, il arrive à se hisser à la 15e place.
Il faut savoir que deux hommes se partagent pour ainsi dire le gâteau mondial, en attelage : Ijsbrand Chardon (49 ans, Hollandais)) d'un côté puisqu'il est recordman de titres mondiaux. Et Boyd Exell (Australien), de l'autre, actuel N°1 de la discipline depuis deux saisons.
C'est une drôle d'histoire qui s'est passée sur cette discipline, durant ces JEM, car juste avant son marathon Ijsbrand Chardon retrouve sa voiture vandalisée. Bon sportif, Boyd Exell lui propose la sienne (la même). Mais il préfère réparer sa voiture et remporte tout de même la médaille d'or par équipe. Les Etats-Unis et l'Allemagne suivent sur le podium.
Au final, c'est tout de même l'Australien, Boyd Exell, qui domine le Hollandais (Ijsbrand Chardon) sur l'individuel. Un Américain complète la troisième marche du podium.
Alix Thomas
Intensification des échanges franco-américains lors des Jeux Equestres Mondiaux - En route pour 2014 !
Une délégation d'une quinzaine de membres du Pôle a fait le déplacement aux Jeux Équestres Mondiaux au Kentucky (USA) parmi une centaine de français, chefs d'entreprise des filières équine et agroalimentaire, chercheurs, représentants du tourisme et représentants institutionnels. Cette forte présence a renforcé la visibilité de la France dans le secteur équin.
A cette occasion, le Pôle de compétitivité Filière équine et son équivalent américain « equine initiative » ont signé vendredi 8 octobre 2010 un « Partnership Agreement » qui a pour objectif de renforcer les liens développés depuis 2007 en organisant des échanges réguliers sur des sujets communs, ciblés autour de la recherche, l'innovation et le développement des compétences.
Les 10 entreprises membres du Pôle, participant à l'opération, ont réussi à engager des relations de business sur cet immense marché américain. la mission a permis de découvrir ce marché et d'y repérer de réelles opportunités !
Au travers de réunions de travail entre les chercheurs français et américains, les collaborations existantes ont pu être renforcées et de nouveaux projets devraient voir le jour dans les domaines stratégiques du Pôle (santé, bien-être et performance des équidés).
En résumé, un premier succès sur les pas des championnats du monde de 2014 où la France devra pouvoir afficher son haut niveau d'innovation et de compétitivité.
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