Les facteurs de risques des coliques
Rubrique vétérinaireMalheureusement, la majorité des coliques graves arrivent fortuitement sur des chevaux en pleine santé, correctement entretenus et bien suivis, sans erreur manifeste de management et bien souvent sans explication rationnelle possible.
Â
Les coliques sont inhérentes à l’anatomie du tube digestif du cheval.
On connaît tout de même un certain nombre de facteurs de risques :
- le parasitisme, certainement le facteur de risque le plus connu.
Le parasitisme peut être soit une cause primitive de coliques comme dans le cas d’impaction de l’iléon causée par un bouchon d’ascaris au niveau de la valvule iléo-cæcale, soit un facteur de risque sensu stricto, en créant des lésions pariétales et/ou ischémiques au niveau du tractus digestif pouvant induire des intussusceptions par exemple.
- l’alimentation est un autre facteur de risque important.
Trop de concentrés par rapport au fourrage, les transitions alimentaires, la distribution des repas par rapport aux périodes de travail, l’abreuvement… sont autant de facteurs de risques reconnus.
- le stress peut induire des coliques.
Il faut éviter les séances trop dures ou qui se passent mal ou toute autre forme de stress.
- la race.
Il est décrit que les Purs-Sang Arabes sont plus sensibles aux coliques, que les Thourougbreds (PSA) ont plus souvent des incarcérations de grêle dans le foramen épiploïque, que les étalons Standarbreds ont plus de risques de déclarer une hernie inguinale ou encore que les Chevaux de Selle de format important sont sujets à l’entrappement néphro-splénique…
- l’âge.
Certains types de coliques se rencontrent plus fréquemment à certains âges, comme l’impaction par des ascaris chez le poulain, les ulcères gastriques chez les jeunes chevaux à l’entraînement ou l’incarcération dans le foramen épiploïque ou encore une strangulation par un lipome chez les chevaux âgés…
- le sexe.
La hernie inguinale est un risque majeur chez les entiers, alors que les juments gravides peuvent déclarer des torsions du côlon.
Drs. Delalande et Martin
On connaît tout de même un certain nombre de facteurs de risques :
- le parasitisme, certainement le facteur de risque le plus connu.
Le parasitisme peut être soit une cause primitive de coliques comme dans le cas d’impaction de l’iléon causée par un bouchon d’ascaris au niveau de la valvule iléo-cæcale, soit un facteur de risque sensu stricto, en créant des lésions pariétales et/ou ischémiques au niveau du tractus digestif pouvant induire des intussusceptions par exemple.
- l’alimentation est un autre facteur de risque important.
Trop de concentrés par rapport au fourrage, les transitions alimentaires, la distribution des repas par rapport aux périodes de travail, l’abreuvement… sont autant de facteurs de risques reconnus.
- le stress peut induire des coliques.
Il faut éviter les séances trop dures ou qui se passent mal ou toute autre forme de stress.
- la race.
Il est décrit que les Purs-Sang Arabes sont plus sensibles aux coliques, que les Thourougbreds (PSA) ont plus souvent des incarcérations de grêle dans le foramen épiploïque, que les étalons Standarbreds ont plus de risques de déclarer une hernie inguinale ou encore que les Chevaux de Selle de format important sont sujets à l’entrappement néphro-splénique…
- l’âge.
Certains types de coliques se rencontrent plus fréquemment à certains âges, comme l’impaction par des ascaris chez le poulain, les ulcères gastriques chez les jeunes chevaux à l’entraînement ou l’incarcération dans le foramen épiploïque ou encore une strangulation par un lipome chez les chevaux âgés…
- le sexe.
La hernie inguinale est un risque majeur chez les entiers, alors que les juments gravides peuvent déclarer des torsions du côlon.
Drs. Delalande et Martin
Vous devez être membre pour ajouter des commentaires. Devenez membre ou connectez-vous