Maxime Livio : « un acte de malveillance »Â
Nous sommes venus aux Jeux Mondiaux avec l’espoir et la volonté de monter sur le podium en équipe, et à titre personnel, je visais d’être dans les 10 premières places.
J’étais en conséquence certain que mon cheval serait contrôlé. Jamais je n’aurais pris un risque pareil pour la France ou pour ma carrière, et je réprouve le dopage qui ne correspond pas à l’éthique que j’ai du sport et de l’équitation.
J’attends l’analyse détaillée de l’échantillon A. N’ayant administré aucun produit dopant à mon cheval, pour l’instant je ne peux rien envisager d’autre qu’un acte de malveillance.
La Fédération Française d’Equitation a toujours mené de nombreuses campagnes et actions pour que l’équitation soit un sport propre en France et j’ai été sensibilisé à tout cela depuis que je suis Junior. Quelques semaines avant les JEM, un dernier séminaire nous a encore sensibilisés avec un examen de tous nos aliments et compléments alimentaires.
Depuis 10 ans, j’ai mis le plus grand soin à construire ma carrière de la façon la plus professionnelle qui soit et jamais je n’aurais pris un tel risque après tant d’années d’efforts pour parvenir au niveau où je suis aujourd’hui et à ce premier objectif: les Jeux équestres mondiaux ».Â
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