Pluie d'étoiles sur le Gucci Master
(en ligne le 09 décembre 2009) Le CSI 1*, réservé à des amateurs éclairés désireux de partager le temps de quelques jours les mêmes émotions que les plus grands cavaliers au monde, et le CSI 2* qui verra s’affronter quelques grands pilotes de renom ou en devenir, offriront
l’opportunité d’apprécier les talents de quelques personnalités. ?L’ancienne championne de tennis Martina Hingis, la Princesse Charlotte Casiraghi,, l’imitateur Nicolas Canteloup ou encore Athina Onassis de Miranda, remarquable cavalière, épouse du cavalier brésilien Alvaro Alfonso de Miranda, lui même au départ du CSI 5*, seront quelques-unes des personnalités à suivre de près.
Gagnante de Wimbledon, de l’US Open et de l’Open d’Australie (3 fois), n°1 mondiale à seulement 17 ans, Martina Hingis est une passionnée d’équitation depuis de très nombreuses années. Logique par conséquent de retrouver la Suissesse à l’affiche du Gucci Masters. Martina, entraînée par Nelson Pessoa (« Elle a beaucoup de talent, commentait le sorcier brésilien. On voit que c’est une sportive car elle sait se concentrer. Elle peut vraiment faire une bonne cavalière. ») sera en effet au départ du CSI 1* où elle montera Ragana II, une jument de 7 ans d’origine allemande, et Whisky Bon Ami, 10 ans, venu de Belgique. Pour l’amour du cheval avant tout. « Pendant les tournois, cela faisait du bien de s’échapper un peu, raconte-t-elle. Je n’hésitais jamais à faire une heure de voiture pour aller monter sur des plages en Californie ou en Australie. » Pas question néanmoins pour la Suissesse de se contenter de participer.?« C’est le cÅ“ur et les tripes de l’athlète qui parlent, confie-t-elle. Il me faut toujours un défi dans la vie. Mais je ne peux pas comparer mon expérience du tennis et celle de l’équitation. Pour le tennis, j’étais bien plus professionnelle que je ne le suis pour le cheval même si mon vécu m’aide forcément dans la discipline et la compréhension des choses. »
La perspective d’une nouvelle carrière semble donc encore très lointaine. « J’ai commencé le tennis à 3 ans, raconte la championne. Je n’ai que 29 ans, mais ces vingt ans, on ne les rattrape pas. Je veux juste aller chercher mes limites en équitation. » Et un maximum de plaisir. « Je suis vraiment très heureuse de venir à Paris et d’avoir l’opportunité de concourir sur la même piste que les meilleurs cavaliers au monde. Au tennis, cela arrivait parfois que des personnalités puissent venir jouer sur le central de l’US Open. Cette fois, les rôles sont inversés et c’est moi qui vais vivre une grande expérience. »
La Princesse Charlotte Casiraghi, à 23 ans, a davantage d’expérience des concours de sauts. Après de premières expériences il y a quelques années, elle s’est relancée sur le circuit cet été avec des participations aux épreuves d’accompagnement des prisés concours du Global Champions Tour à Valkenswaard (HOL), Estoril (POR), Monte Carlo ou encore Valence (ESP). Depuis neuf ans, Thierry Rozier, cavalier ayant connu le très haut niveau de longues années, est son entraîneur. « Charlotte monte vraiment très très bien et a un gros feeling, commente-t-il. Elle a juste parfois peur de mal faire. Mais en multipliant les concours, elle va trouver ses marques. Elle a le talent et les chevaux pour aller très haut dès qu’elle aura eu ce petit déclic. » Une bonne cavalière n’étant rien sans un bon partenaire, mademoiselle Casiraghi peut là aussi être rassurée. « Avec GI Joe, mais aussi Tintero et Troye, elle a trois chevaux d’un très bon potentiel, estime son entraîneur. Je suis à son écoute 24h/24. Le plaisir de mes élèves est ma priorité. A moi de tout mettre en Å“uvre pour qu’ils prennent du plaisir à 100%. » Nul doute que ce sera le cas durant les quatre jours du Gucci Masters.
Même prédiction pour l’humoriste Nicolas Canteloup, lui aussi engagé sur le CSI 1*. Moniteur d’équitation durant une période de sa vie après avoir découvert les chevaux à 13 ans lors de vacances chez son grand-père, dans le bassin d’Arcachon, le fameux imitateur ne manque jamais une occasion de mettre en lumière les vertus de l’équitation et du cheval. « Le cheval, c'est un peu comme le mouvement de l'amour, la position du bassin, le buste en suspension, s'émerveillait-il récemment dans un portrait tiré par Le Figaro. Quand je monte, je joue mon intégrité physique. Quand je monte sur scène, je joue mon amour-propre, mais je sais à peu près où je vais. » Il aura l’occasion dès jeudi de montrer toutes ses qualités équestres.
Dans l’épreuve supérieure, Athina Onassis de Miranda cherchera pour sa part la performance dans un CSI 2* de très haut niveau avec des adversaires redoutables et renommés comme Eugénie Angot, Eric Levallois, Hervé Godignon, le Suisse Grégoire Oberson etc ou de jeunes cavaliers très prometteurs (Pauline Guignery, Clémence Laborde, Alexandra Paillot, etc). Habituée des terrains de concours Athina Onassis de Miranda, en selle sur AD Ricardo et AD Uceline, est une grande passionnée. L’an dernier, elle avait ainsi tenu à participer aux épreuves d’Arezzo en Italie malgré une blessure. Le temps de quitter ses béquilles pour monter à cheval et la jeune femme, épouse du champion brésilien Alvaro Alfonso de Miranda, avait montr& eacute; toute sa détermination. Une détermination et surtout un talent, dont elle fera une fois de plus la démonstration à l’occasion du Gucci Masters.
Gagnante de Wimbledon, de l’US Open et de l’Open d’Australie (3 fois), n°1 mondiale à seulement 17 ans, Martina Hingis est une passionnée d’équitation depuis de très nombreuses années. Logique par conséquent de retrouver la Suissesse à l’affiche du Gucci Masters. Martina, entraînée par Nelson Pessoa (« Elle a beaucoup de talent, commentait le sorcier brésilien. On voit que c’est une sportive car elle sait se concentrer. Elle peut vraiment faire une bonne cavalière. ») sera en effet au départ du CSI 1* où elle montera Ragana II, une jument de 7 ans d’origine allemande, et Whisky Bon Ami, 10 ans, venu de Belgique. Pour l’amour du cheval avant tout. « Pendant les tournois, cela faisait du bien de s’échapper un peu, raconte-t-elle. Je n’hésitais jamais à faire une heure de voiture pour aller monter sur des plages en Californie ou en Australie. » Pas question néanmoins pour la Suissesse de se contenter de participer.?« C’est le cÅ“ur et les tripes de l’athlète qui parlent, confie-t-elle. Il me faut toujours un défi dans la vie. Mais je ne peux pas comparer mon expérience du tennis et celle de l’équitation. Pour le tennis, j’étais bien plus professionnelle que je ne le suis pour le cheval même si mon vécu m’aide forcément dans la discipline et la compréhension des choses. »
La perspective d’une nouvelle carrière semble donc encore très lointaine. « J’ai commencé le tennis à 3 ans, raconte la championne. Je n’ai que 29 ans, mais ces vingt ans, on ne les rattrape pas. Je veux juste aller chercher mes limites en équitation. » Et un maximum de plaisir. « Je suis vraiment très heureuse de venir à Paris et d’avoir l’opportunité de concourir sur la même piste que les meilleurs cavaliers au monde. Au tennis, cela arrivait parfois que des personnalités puissent venir jouer sur le central de l’US Open. Cette fois, les rôles sont inversés et c’est moi qui vais vivre une grande expérience. »
La Princesse Charlotte Casiraghi, à 23 ans, a davantage d’expérience des concours de sauts. Après de premières expériences il y a quelques années, elle s’est relancée sur le circuit cet été avec des participations aux épreuves d’accompagnement des prisés concours du Global Champions Tour à Valkenswaard (HOL), Estoril (POR), Monte Carlo ou encore Valence (ESP). Depuis neuf ans, Thierry Rozier, cavalier ayant connu le très haut niveau de longues années, est son entraîneur. « Charlotte monte vraiment très très bien et a un gros feeling, commente-t-il. Elle a juste parfois peur de mal faire. Mais en multipliant les concours, elle va trouver ses marques. Elle a le talent et les chevaux pour aller très haut dès qu’elle aura eu ce petit déclic. » Une bonne cavalière n’étant rien sans un bon partenaire, mademoiselle Casiraghi peut là aussi être rassurée. « Avec GI Joe, mais aussi Tintero et Troye, elle a trois chevaux d’un très bon potentiel, estime son entraîneur. Je suis à son écoute 24h/24. Le plaisir de mes élèves est ma priorité. A moi de tout mettre en Å“uvre pour qu’ils prennent du plaisir à 100%. » Nul doute que ce sera le cas durant les quatre jours du Gucci Masters.
Même prédiction pour l’humoriste Nicolas Canteloup, lui aussi engagé sur le CSI 1*. Moniteur d’équitation durant une période de sa vie après avoir découvert les chevaux à 13 ans lors de vacances chez son grand-père, dans le bassin d’Arcachon, le fameux imitateur ne manque jamais une occasion de mettre en lumière les vertus de l’équitation et du cheval. « Le cheval, c'est un peu comme le mouvement de l'amour, la position du bassin, le buste en suspension, s'émerveillait-il récemment dans un portrait tiré par Le Figaro. Quand je monte, je joue mon intégrité physique. Quand je monte sur scène, je joue mon amour-propre, mais je sais à peu près où je vais. » Il aura l’occasion dès jeudi de montrer toutes ses qualités équestres.
Dans l’épreuve supérieure, Athina Onassis de Miranda cherchera pour sa part la performance dans un CSI 2* de très haut niveau avec des adversaires redoutables et renommés comme Eugénie Angot, Eric Levallois, Hervé Godignon, le Suisse Grégoire Oberson etc ou de jeunes cavaliers très prometteurs (Pauline Guignery, Clémence Laborde, Alexandra Paillot, etc). Habituée des terrains de concours Athina Onassis de Miranda, en selle sur AD Ricardo et AD Uceline, est une grande passionnée. L’an dernier, elle avait ainsi tenu à participer aux épreuves d’Arezzo en Italie malgré une blessure. Le temps de quitter ses béquilles pour monter à cheval et la jeune femme, épouse du champion brésilien Alvaro Alfonso de Miranda, avait montr& eacute; toute sa détermination. Une détermination et surtout un talent, dont elle fera une fois de plus la démonstration à l’occasion du Gucci Masters.
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