Poneys - Eurydice Schauly : une saison remarquable de régularité
Eurydice Schauly, l’une des cavalières qui a marqué le circuit de Concours Complet cette année au regard de sa régularité, a terminé en beauté sa saison à poney en se classant 8e des championnats d’Europe à Moorsele avec le New-Forest Lapsus
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de l’Ocq.
« La difficulté des derniers Championnats d’Europe était la vitesse (520 m/minute sur les GP nationaux contre 500 m/minute à Moorsele). Nous avons rencontré, de plus, tous les styles de difficultés : ce fut une vraie synthèse de notre saison de Grand Prix. Techniquement, le CSO a ressemblé à ce que l’on trouve habituellement en France, ce n’était pas beaucoup plus gros. Pour les poneys, il ne fallait pas oublier la fatigue du cross, couru la veille. Ce type d’échéance n’est jamais facile ». Des difficultés techniques mais aussi psychologiques : la forte pression rencontrée par les cavaliers n’est pas toujours évidente à gérer : « il y avait énormément de pression. C’est difficile à gérer, dans le sens où mentalement on court pour une équipe, on est ensemble et on n’a pas le droit à l’erreur ». Tout cela, la jeune Eurydice, 16 ans, l’a parfaitement compris et a su aborder sereinement sa compétition. Inutile de rappeler qu’elle baigne dans ce milieu depuis toute petite et que ses parents et ses frères sont cavaliers. La blondinette a su également construire un couple compétitif avec Lapsus. A Moorsele, ils ont ensemble grappillé et remonté les places au fil des trois jours : « Lapsus est un poney très calme, très serein, qui généralement déroule de belles reprises. Il est assez joli, assez harmonieux. Son point faible est qu’il a du mal à galoper sur le cross : j’ai du mal à être à l’heure ! Il s’est bien comporté aux championnats d’Europe ». L’avenir d’Eurydice se passera désormais à cheval, étant atteinte par la limite d’âge pour concourir en internationaux à Poneys : « Lapsus continuera sa route sous la selle d’un autre cavalier. Quant à moi, je prépare les Juniors avec deux chevaux, Must et Kiwi d’Auton, le cheval de mon frère ».
« La difficulté des derniers Championnats d’Europe était la vitesse (520 m/minute sur les GP nationaux contre 500 m/minute à Moorsele). Nous avons rencontré, de plus, tous les styles de difficultés : ce fut une vraie synthèse de notre saison de Grand Prix. Techniquement, le CSO a ressemblé à ce que l’on trouve habituellement en France, ce n’était pas beaucoup plus gros. Pour les poneys, il ne fallait pas oublier la fatigue du cross, couru la veille. Ce type d’échéance n’est jamais facile ». Des difficultés techniques mais aussi psychologiques : la forte pression rencontrée par les cavaliers n’est pas toujours évidente à gérer : « il y avait énormément de pression. C’est difficile à gérer, dans le sens où mentalement on court pour une équipe, on est ensemble et on n’a pas le droit à l’erreur ». Tout cela, la jeune Eurydice, 16 ans, l’a parfaitement compris et a su aborder sereinement sa compétition. Inutile de rappeler qu’elle baigne dans ce milieu depuis toute petite et que ses parents et ses frères sont cavaliers. La blondinette a su également construire un couple compétitif avec Lapsus. A Moorsele, ils ont ensemble grappillé et remonté les places au fil des trois jours : « Lapsus est un poney très calme, très serein, qui généralement déroule de belles reprises. Il est assez joli, assez harmonieux. Son point faible est qu’il a du mal à galoper sur le cross : j’ai du mal à être à l’heure ! Il s’est bien comporté aux championnats d’Europe ». L’avenir d’Eurydice se passera désormais à cheval, étant atteinte par la limite d’âge pour concourir en internationaux à Poneys : « Lapsus continuera sa route sous la selle d’un autre cavalier. Quant à moi, je prépare les Juniors avec deux chevaux, Must et Kiwi d’Auton, le cheval de mon frère ».
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