Qui fait votre assistance sur les courses ?
Témoignages Emilie, 28 ans, Vienne (Isère)« Mon mari assure mon suivi et vice-versa »« L’idéal pour le suivi est d’avoir deux personnes. D’une part parce c’est plus pratique pour trouver les points d’assistance (le conducteur
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a ainsi son copilote), et d’autre part c’est plus judicieux, lors des vet-gates. Il faut souvent courir pour chercher de l’eau, une éponge, une couteau de chaleur, un cardio... Pour assurer mon suivi, il y a toujours mon mari, ainsi qu’une ou plusieurs amies, qui se rendent disponibles.
Avec mon mari, c’est un échange de bons procédés, étant donné que c’est moi qui fait son assistance lorsqu’il court. L’une de mes amies n’était pas encore cavalière d’endurance quand elle a commencé les assistances. Elle s’y est mise avec une de mes juments (et c’est moi qui assure son suivi). C’est le côté sympa de l’endurance, qui permet tour à tour d’être cavalier ou suiveur. Plus qu’un couple cavalier/cheval, c’est une équipe entière qui participe, et qui est associée à la victoire (ou à l’échec, mais le moins possible !) ».
Océane, 17 ans, Rumilly (74)
« Mon père s’est pris au jeu d’emblée »
« C’est mon père qui s’occupe de mon suivi, avec le propriétaire d’Ounsia, la jument que je monte en course. Parfois, j’ai en plus le renfort d’un ou deux amis. C’est pareil quand je cours avec Naouti, le cheval de ma monitrice, sauf que c’est sa propriétaire qui vient. J’ai aussi fait une sorte de marché avec un copain qui fait du complet : je le groome sur les CCE et il me fait l’assistance en course, vu que ces deux disciplines nous plaisent à tous les deux !
Mon père, je crois qu’il s’est pris au jeu dès le début. Il a fait ma première assistance au championnat de France des jeunes à Lartigue il y a 3 ans. Ensuite, je le lui ai reproposé pour les courses avec Ounsia et je crois que progressivement il s’intéresse vraiment à la jument. Mes autres suiveurs viennent par solidarité. La plupart connaissant l’endurance, ça leur plaît de faire l’assistance et moi je suis ravie de les embaucher. On n’est jamais trop nombreux finalement ! ».
Laure, 20 ans, Vitré (79)
« Mon père calcule la vitesse à la seconde près »
« Quand je suis en course, c’est mon père et les enfants dont il s’occupe qui me font mon assistance. C’est génial, vu qu’il entraîne les chevaux, il les connait très bien. Et puis mon père s’occupe de me calculer mes vitesses quasiment à chaque assistance. Tel un « pro », il organise le suivi pour qu’on ne perde jamais de temps, ce qui fait que mon « travail » est vraiment facilité.
A la base, quand j’étais enfant, c’était moi qui étais dans le camion avec ses amis pour lui faire son assistance et quand j’ai commencé à courir, c’était évident que c’était lui qui devait me faire mon suivi !
J’avoue, ce n’est pas toujours simple car nous avons deux forts caractères mais je dois avouer que mes classements, notamment sur 90 km, c’est à mon paternel que je les dois ! Et puis sur les épreuves à vitesse limitée, il m’a souvent permis d’arriver à la seconde près. Du coup, je me classais très bien ».
Avec mon mari, c’est un échange de bons procédés, étant donné que c’est moi qui fait son assistance lorsqu’il court. L’une de mes amies n’était pas encore cavalière d’endurance quand elle a commencé les assistances. Elle s’y est mise avec une de mes juments (et c’est moi qui assure son suivi). C’est le côté sympa de l’endurance, qui permet tour à tour d’être cavalier ou suiveur. Plus qu’un couple cavalier/cheval, c’est une équipe entière qui participe, et qui est associée à la victoire (ou à l’échec, mais le moins possible !) ».
Océane, 17 ans, Rumilly (74)
« Mon père s’est pris au jeu d’emblée »
« C’est mon père qui s’occupe de mon suivi, avec le propriétaire d’Ounsia, la jument que je monte en course. Parfois, j’ai en plus le renfort d’un ou deux amis. C’est pareil quand je cours avec Naouti, le cheval de ma monitrice, sauf que c’est sa propriétaire qui vient. J’ai aussi fait une sorte de marché avec un copain qui fait du complet : je le groome sur les CCE et il me fait l’assistance en course, vu que ces deux disciplines nous plaisent à tous les deux !
Mon père, je crois qu’il s’est pris au jeu dès le début. Il a fait ma première assistance au championnat de France des jeunes à Lartigue il y a 3 ans. Ensuite, je le lui ai reproposé pour les courses avec Ounsia et je crois que progressivement il s’intéresse vraiment à la jument. Mes autres suiveurs viennent par solidarité. La plupart connaissant l’endurance, ça leur plaît de faire l’assistance et moi je suis ravie de les embaucher. On n’est jamais trop nombreux finalement ! ».
Laure, 20 ans, Vitré (79)
« Mon père calcule la vitesse à la seconde près »
« Quand je suis en course, c’est mon père et les enfants dont il s’occupe qui me font mon assistance. C’est génial, vu qu’il entraîne les chevaux, il les connait très bien. Et puis mon père s’occupe de me calculer mes vitesses quasiment à chaque assistance. Tel un « pro », il organise le suivi pour qu’on ne perde jamais de temps, ce qui fait que mon « travail » est vraiment facilité.
A la base, quand j’étais enfant, c’était moi qui étais dans le camion avec ses amis pour lui faire son assistance et quand j’ai commencé à courir, c’était évident que c’était lui qui devait me faire mon suivi !
J’avoue, ce n’est pas toujours simple car nous avons deux forts caractères mais je dois avouer que mes classements, notamment sur 90 km, c’est à mon paternel que je les dois ! Et puis sur les épreuves à vitesse limitée, il m’a souvent permis d’arriver à la seconde près. Du coup, je me classais très bien ».
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