Sans assistance, pas de performance
L’une des caractéristiques de l’endurance, c’est que le cavalier n’est jamais bien longtemps seul avec son cheval.Elément essentiel de la discipline, l’équipe d’assistance a pour mission première de veiller au bien-être du cheval.
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Sur la piste, les suiveurs partent à la rencontre du cavalier sur des points préalablement définis à l’avance par l’organisation. Guidés par le road-book ou une carte routière, les dévoués serviteurs sont bardés de seaux et de bouteilles d’eau. Le cheval est arrosé -tout particulièrement sur l’encolure- afin d’être rafraichi. On lui propose également à boire. On vérifie si les 4 fers sont toujours en place et qu’aucune blessure n’est apparue.
L’assistance est également là pour fournir au cavalier ce dont il a besoin (boisson, barres énergétiques, blouson, etc.) et peut parfois être amenée à lui remonter le moral. C’est également son rôle de renseigner son équipier sur la position de concurrents éventuels à rattraper ou à semer.
Aux arrivées intermédiaires des courses à vitesse libre, l’assistance s’occupe de tout... ou presque dans le but de faire entrer le cheval le plus rapidement possible dans l’aire de contrôle vétérinaire et ainsi arrêter le temps de course. Le suiveur nourrit l’équidé athlète, le fait marcher, lui masse le dos ou la croupe, alterne chemise séchante et couverture chaude, pulvérise l’anti-mouche si nécessaire, vérifie la ferrure, refait le plein d’eau, etc.
Le cavalier peut ainsi s’occuper de lui : se changer, manger un peu, s’informer du classement.
Mari, copains, parents, les suiveurs viennent de tous horizons mais, le jour J, se consacrent avant tout au cheval et au cavalier. Ils sont partout, satisfaisant les désirs de l’un, précédant ceux de l’autre.
Il n’est pas rare que des membres d’une équipe d’assistance n’aient jamais monté à cheval. Mais il n’est pas rare non plus qu’ils attrapent le « virus » de l’endurance par ce biais et s’engagent ensuite à leur tour sur des épreuves. Leur assistant est alors tout trouvé !
M. J.
L’assistance est également là pour fournir au cavalier ce dont il a besoin (boisson, barres énergétiques, blouson, etc.) et peut parfois être amenée à lui remonter le moral. C’est également son rôle de renseigner son équipier sur la position de concurrents éventuels à rattraper ou à semer.
Aux arrivées intermédiaires des courses à vitesse libre, l’assistance s’occupe de tout... ou presque dans le but de faire entrer le cheval le plus rapidement possible dans l’aire de contrôle vétérinaire et ainsi arrêter le temps de course. Le suiveur nourrit l’équidé athlète, le fait marcher, lui masse le dos ou la croupe, alterne chemise séchante et couverture chaude, pulvérise l’anti-mouche si nécessaire, vérifie la ferrure, refait le plein d’eau, etc.
Le cavalier peut ainsi s’occuper de lui : se changer, manger un peu, s’informer du classement.
Mari, copains, parents, les suiveurs viennent de tous horizons mais, le jour J, se consacrent avant tout au cheval et au cavalier. Ils sont partout, satisfaisant les désirs de l’un, précédant ceux de l’autre.
Il n’est pas rare que des membres d’une équipe d’assistance n’aient jamais monté à cheval. Mais il n’est pas rare non plus qu’ils attrapent le « virus » de l’endurance par ce biais et s’engagent ensuite à leur tour sur des épreuves. Leur assistant est alors tout trouvé !
M. J.
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