Santé : L’asthme équin : à surveiller
Identifier les premiers signes d’alerte pour préserver la capacité pulmonaire du cheval



Le cheval dispose d’une capacité pulmonaire qui ne peut augmenter, même avec l’entraînement. Si le poumon est abîmé, il ne se régénère pas : un tissu cicatriciel se met en place, entraînant une perte de fonction et donc une diminution de la capacité pulmonaire du cheval. À terme, ces affections peuvent dégrader sa qualité de vie et nécessiter des examens médicaux et des traitements contraignants.

Les symptômes respiratoires, souvent discrets au départ, comme la toux (en début de travail), l’écoulement au niveau des naseaux (au box / pré ou après le travail), la difficulté à récupérer après un effort habituel, sont des signes d’alerte qui nécessitent un avis vétérinaire.

Boehringer Ingelheim propose aux vétérinaires, différents outils pour informer les propriétaires sur l’asthme équin et les accompagner dans une meilleure prise en charge de cette maladie.



La gestion du cheval asthmatique repose sur des mesures environnementales autant que médicales



L’amélioration de l’environnement direct du cheval est la clé d’une rémission à long terme. Elle repose sur des mesures hygiéniques limitant les contacts avec les agents étiologiques et irritants (alimentation, litière, ventilation).

En fonction du degré de sévérité de l’asthme, le vétérinaire dispose de traitements médicamenteux qu’il peut combiner pour agir sur les trois piliers clés de la maladie (bronchospasme, inflammation, hypersécrétion), afin d’aider le cheval à mieux respirer.

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