Un million d’équidés recensés en France
Tous les chevaux, ânes et poneys résidants en France doivent être identifiés avec une puce électronique depuis le 1er janvier 2008. Le chiffre marquant de la millionième puce attribuée à un cheval vient d’être dépassé ! Pour une identification
fiable, rapide et simple des équidés la puce électronique complète le relevé des marques naturelles réalisé à la naissance du poulain. Les avantages sont certains : renforcement de la sécurité sanitaire, dissuasion contre les vols et
fraudes, lien avec les propriétaires de chevaux égarés, certification des origines...
Seuls les identificateurs habilités (agent des Haras nationaux ou vétérinaires habilités) peuvent identifier les équidés et procéder à la pose de la puce électronique.
Le Millionième équidé français pucé
Mistral, cheval de sport, a commencé sa carrière dans un centre équestre avant d’être acheté par Madame Scherrer de Saint Léger sur Roanne (44). Aujourd’hui âgé de 30 ans Mistral est en règle avec la réglementation et a été pucé.
« Mistral est un cheval de 30 ans qui termine doucement ses jours au pré, aux côtés d’une ânesse. Je l’ai acheté quand il avait 7 ans, il avait déjà été identifié. Le vétérinaire m’a dit un jour qu’il fallait poser une puce à Mistral. Donc nous l’avons fait. En revanche je ne savais pas que l’ânesse rachetée à une boucherie devait elle aussi se soumettre à cette réglementation. »
Qu’il soit cheval de sang, de trait, de course ou de selle, de loisir ou de sport, une mule, un âne ou un poney, importé ou né en France, tout équidé présent sur le territoire français doit être pucé depuis le 1er janvier 2008, selon la législation en vigueur.
Le SIRE, système d’information relatif aux équidés
Le SIRE est géré par les Haras nationaux, établissement public du ministère de l’agriculture. Depuis 30 ans toutes les informations concernant les chevaux : identification (sexe, robe, signalement, puce...), ascendance et descendance, naisseur, propriétaires, suivi sanitaire, indices de performances en compétitions ... sont répertoriées sur une même base de données. Afin d’avoir des informations fiables et rapides, les Haras nationaux travaillent en étroite relation avec les sociétés des courses, la fédération française d’équitation, les sociétés de vente comme Arquana, des laboratoires comme Labogena, l’INRA pour l’analyse de certaines données, les identificateurs et les étalonniers...
Cette base de donnée unique en Europe, est une source d’information sur tous les équidés en France, au service des propriétaires ou éleveurs de chevaux, des associations de race, et de tous les acteurs de la filière.
fraudes, lien avec les propriétaires de chevaux égarés, certification des origines...
Seuls les identificateurs habilités (agent des Haras nationaux ou vétérinaires habilités) peuvent identifier les équidés et procéder à la pose de la puce électronique.
Le Millionième équidé français pucé
Mistral, cheval de sport, a commencé sa carrière dans un centre équestre avant d’être acheté par Madame Scherrer de Saint Léger sur Roanne (44). Aujourd’hui âgé de 30 ans Mistral est en règle avec la réglementation et a été pucé.
« Mistral est un cheval de 30 ans qui termine doucement ses jours au pré, aux côtés d’une ânesse. Je l’ai acheté quand il avait 7 ans, il avait déjà été identifié. Le vétérinaire m’a dit un jour qu’il fallait poser une puce à Mistral. Donc nous l’avons fait. En revanche je ne savais pas que l’ânesse rachetée à une boucherie devait elle aussi se soumettre à cette réglementation. »
Qu’il soit cheval de sang, de trait, de course ou de selle, de loisir ou de sport, une mule, un âne ou un poney, importé ou né en France, tout équidé présent sur le territoire français doit être pucé depuis le 1er janvier 2008, selon la législation en vigueur.
Le SIRE, système d’information relatif aux équidés
Le SIRE est géré par les Haras nationaux, établissement public du ministère de l’agriculture. Depuis 30 ans toutes les informations concernant les chevaux : identification (sexe, robe, signalement, puce...), ascendance et descendance, naisseur, propriétaires, suivi sanitaire, indices de performances en compétitions ... sont répertoriées sur une même base de données. Afin d’avoir des informations fiables et rapides, les Haras nationaux travaillent en étroite relation avec les sociétés des courses, la fédération française d’équitation, les sociétés de vente comme Arquana, des laboratoires comme Labogena, l’INRA pour l’analyse de certaines données, les identificateurs et les étalonniers...
Cette base de donnée unique en Europe, est une source d’information sur tous les équidés en France, au service des propriétaires ou éleveurs de chevaux, des associations de race, et de tous les acteurs de la filière.
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