Vente Jean-Luc Gaillard : bonnes cartes et re-belotte
Décidément pour Jean-Luc Gaillard, homme de défi, « quand il va au bal, c’est pour danser ».Comme il y a 2 ans, la vente pour réduction d’effectif de son élevage d’anglos de course, a été une réussite, même si les prix, pour
des chevaux de sport, auraient pu, au vu de leurs moyens, être plus élevés.
Réussite, d’abord parce que c’était une vraie vente « sans réserve »...pas de retirés, les 40 chevaux ont trouvé preneur; ensuite parce que la qualité des chevaux et de la présentation a permis de voir 5 chevaux dépasser les 4 000 €, ce qui permet encore aux professionnels de travailler, tout en devenant des prix décents.
Les 10 poulinières se sont vendues 1 000 € en moyenne... La conjoncture n’a pas aidé.
Les 9 femelles (3 à 6 ans) se sont négociées autour de 2 500 €, et les 17 mâles et hongres (4 à 10 ans) ont approché les 3 500 €, le top price à 6 300 € revenant à Francois Roemer, le président de la CSCCF et mentor de son père Sarastro.
Les origines étaient irréprochables, les chevaux beaux au modèle et en bel état; la présentation, dans le cadre magnifique du château-hotel de Chicamour (Sury-aux-Bois-45), fut conviviale, bien organisée, avec visites véto, sauts en liberté, et enchères diligemment orchestrées par Maître Marielle Digard.
Satisfaction générale pour un public, mélange de professionnels et d’amateurs très concernés, qui est reparti dans des destinations variées, que ce soit pour l’utilisation allant du CCE à l’endurance (Jack Bégaud) en passant par le CSO, le Horse-ball et la course, comme pour la localisation comprenant la Malaisie et la Corse, en passant par la Bretagne, Normandie, Bassin Parisien et Midi Méditerranéen.
Nul doute que la polyvalence et la qualité des anglos « Gaillard », permettra de belles satisfactions tant commerciales qu’équestres à leurs nouveaux propriétaires.
Tim
Réussite, d’abord parce que c’était une vraie vente « sans réserve »...pas de retirés, les 40 chevaux ont trouvé preneur; ensuite parce que la qualité des chevaux et de la présentation a permis de voir 5 chevaux dépasser les 4 000 €, ce qui permet encore aux professionnels de travailler, tout en devenant des prix décents.
Les 10 poulinières se sont vendues 1 000 € en moyenne... La conjoncture n’a pas aidé.
Les 9 femelles (3 à 6 ans) se sont négociées autour de 2 500 €, et les 17 mâles et hongres (4 à 10 ans) ont approché les 3 500 €, le top price à 6 300 € revenant à Francois Roemer, le président de la CSCCF et mentor de son père Sarastro.
Les origines étaient irréprochables, les chevaux beaux au modèle et en bel état; la présentation, dans le cadre magnifique du château-hotel de Chicamour (Sury-aux-Bois-45), fut conviviale, bien organisée, avec visites véto, sauts en liberté, et enchères diligemment orchestrées par Maître Marielle Digard.
Satisfaction générale pour un public, mélange de professionnels et d’amateurs très concernés, qui est reparti dans des destinations variées, que ce soit pour l’utilisation allant du CCE à l’endurance (Jack Bégaud) en passant par le CSO, le Horse-ball et la course, comme pour la localisation comprenant la Malaisie et la Corse, en passant par la Bretagne, Normandie, Bassin Parisien et Midi Méditerranéen.
Nul doute que la polyvalence et la qualité des anglos « Gaillard », permettra de belles satisfactions tant commerciales qu’équestres à leurs nouveaux propriétaires.
Tim
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