Anthony Chrétien : la jeune garde prend la relève
L’Ain compte un bon lot de cavaliers d’excellence, des professionnels qui tournent en international ou en national. Anthony Chrétien, 21 ans dans un mois, en fait partie. Il affronte déjà en CSO Pro, les plus grands et obtient régulièrement d’excellents
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résultats, souvent en tête dans les épreuves de vitesse, et ce, depuis déjà deux ans.
Né quasiment à cheval, d’une mère qui a été championne de France des cavalières peu avant sa naissance, il a débuté comme beaucoup à poney.
« Je n’étais pas plus motivé que cela, nous confiait-il; j’ai commencé la compétition vers 12-13 ans et ce n’est que lorsque j’ai commencé à gagner, vers 14-15 ans, que je me suis vraiment intéressé aux chevaux, sans pression ».
• Et maintenant ?
Je m’intéresse à diverses disciplines, surtout au dressage. J’ai compris que pour m’améliorer, mieux comprendre mes chevaux, affiner ma monte, et de ce fait mieux aborder le travail et la compétition, il fallait que j’en passe par là et à vrai dire, ça m’a plu. J’ai travaillé tout l’hiver sur le plat et j’ai pu constater que ça portait ses fruits. Je connais mieux et plus en profondeur mes chevaux; c’est un plus, notamment pour les jeunes chevaux. François Denis (cavalier international basé en Italie) me conseille. Il m’apporte beaucoup.
• Comment se compose votre écurie ?
Je réserve Yvan de Pierville (SF, 14 ans) pour les grosses épreuves de 1,35 à 1,45 m. Il est très régulièrement classé. Hotline de Pam (15 ans, SF, née à la maison) fait plutôt les épreuves de vitesse. J’ai aussi quelques chevaux ?« de commerce », chez qui j’ai senti un potentiel et que je cherche à mettre en valeur.
Basé à Francheleins (01), ce jeune homme modeste mais déterminé, aux allures d’adolescent, prépare son monitorat et travaille dans l’entreprise familiale. Il se dit très attaché à ses chevaux, « trop pour un professionnel », dit-il, mais finalement, c’est ce qui fait toute la beauté du métier, non ?
Florence Massard-Loslier
Né quasiment à cheval, d’une mère qui a été championne de France des cavalières peu avant sa naissance, il a débuté comme beaucoup à poney.
« Je n’étais pas plus motivé que cela, nous confiait-il; j’ai commencé la compétition vers 12-13 ans et ce n’est que lorsque j’ai commencé à gagner, vers 14-15 ans, que je me suis vraiment intéressé aux chevaux, sans pression ».
• Et maintenant ?
Je m’intéresse à diverses disciplines, surtout au dressage. J’ai compris que pour m’améliorer, mieux comprendre mes chevaux, affiner ma monte, et de ce fait mieux aborder le travail et la compétition, il fallait que j’en passe par là et à vrai dire, ça m’a plu. J’ai travaillé tout l’hiver sur le plat et j’ai pu constater que ça portait ses fruits. Je connais mieux et plus en profondeur mes chevaux; c’est un plus, notamment pour les jeunes chevaux. François Denis (cavalier international basé en Italie) me conseille. Il m’apporte beaucoup.
• Comment se compose votre écurie ?
Je réserve Yvan de Pierville (SF, 14 ans) pour les grosses épreuves de 1,35 à 1,45 m. Il est très régulièrement classé. Hotline de Pam (15 ans, SF, née à la maison) fait plutôt les épreuves de vitesse. J’ai aussi quelques chevaux ?« de commerce », chez qui j’ai senti un potentiel et que je cherche à mettre en valeur.
Basé à Francheleins (01), ce jeune homme modeste mais déterminé, aux allures d’adolescent, prépare son monitorat et travaille dans l’entreprise familiale. Il se dit très attaché à ses chevaux, « trop pour un professionnel », dit-il, mais finalement, c’est ce qui fait toute la beauté du métier, non ?
Florence Massard-Loslier
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