Grand régional d’Auvergne, acte 1
CSO Riom (63) 16-18 avril Première étape du Grand Régional d’Auvergne, Riom a toujours été un concours très prisé par les cavaliers qui apprécient avant tout la qualité des installations en général et des sols en particulier. Pour prétendre participer à la finale
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qui se déroulera les 18 et 19 septembre à Saint Didier-la-Forêt (03), les couples devront au minimum prendre le départ sur quatre des huit étapes, le vainqueur étant le cavalier qui aura accumulé le plus de points.
L’affluence des cavaliers, la technicité des parcours proposés mais aussi la présence du public et la douceur printanière : tout concourait à faire de ce week-end de CSO, chez Françoise et Laurent Laporte, une belle réussite. Et c’est bien ainsi que les choses se déroulèrent. Dans les gradins, beaucoup de Riomois étaient venus en famille, mais aussi des amateurs et des passionnés de chevaux qui n’avaient pas hésité à traverser la région, à l’image de Patrick Delaunay, le président du syndicat des chevaux de sang du Cantal qui était venu en spectateur averti, pour le,plaisir.
Ils furent 21 sur les 24 engagés à prendre le départ de ce Grand Prix de la ville de Riom, épreuve Pro 2 à 1,35 m ce dimanche 18 avril, sur un parcours, technique mais non piégeant, dessiné par le chef de piste international Serge Houtmann. Cinq accèdent au barrage. Jérôme Debas-Montagner et Nickel de Brenne, feront un tour peu convaincant puisque celui-ci sera relégué à la dernière place, mais c’est en 42’’77 très exactement que Jérôme imposera sa griffe avec Noée du Tourtel. Emilie Laporte qui jouait à domicile et bénéficiait, au vu des applaudissement, de la faveur du public, prendra la deuxième place.
Pour son deuxième concours de la saison, Jérôme Debas-Montagner s’adjuge les deux Grand Prix pro de cette journée. Que voilà de bons augures pour une saison qui ne fait que débuter.
On peut cependant déplorer un changement de barème de dernière minute, dans le Grand Prix Amateur 1 à 1,20 m, dernière épreuve de la journée, provoquant un certain mécontentement parmi les cavaliers, privés de cette excitation qu’apporte un barrage. Certes, après un week-end aussi chargé, on peut être tenté d’en finir rapidement, d’autant plus que le public, à l’issue de l’épreuve majeure de cette journée, avait rapidement quitté les gradins. Inverser ces deux épreuves aurait permis de conserver le barème initialement prévu, sans doute plus long pour l’organisation du concours, mais bien plus gratifiant pour les amateurs qui auraient concouru devant un public et non devant des gradins vides.
Sarah Marteau
L’affluence des cavaliers, la technicité des parcours proposés mais aussi la présence du public et la douceur printanière : tout concourait à faire de ce week-end de CSO, chez Françoise et Laurent Laporte, une belle réussite. Et c’est bien ainsi que les choses se déroulèrent. Dans les gradins, beaucoup de Riomois étaient venus en famille, mais aussi des amateurs et des passionnés de chevaux qui n’avaient pas hésité à traverser la région, à l’image de Patrick Delaunay, le président du syndicat des chevaux de sang du Cantal qui était venu en spectateur averti, pour le,plaisir.
Ils furent 21 sur les 24 engagés à prendre le départ de ce Grand Prix de la ville de Riom, épreuve Pro 2 à 1,35 m ce dimanche 18 avril, sur un parcours, technique mais non piégeant, dessiné par le chef de piste international Serge Houtmann. Cinq accèdent au barrage. Jérôme Debas-Montagner et Nickel de Brenne, feront un tour peu convaincant puisque celui-ci sera relégué à la dernière place, mais c’est en 42’’77 très exactement que Jérôme imposera sa griffe avec Noée du Tourtel. Emilie Laporte qui jouait à domicile et bénéficiait, au vu des applaudissement, de la faveur du public, prendra la deuxième place.
Pour son deuxième concours de la saison, Jérôme Debas-Montagner s’adjuge les deux Grand Prix pro de cette journée. Que voilà de bons augures pour une saison qui ne fait que débuter.
On peut cependant déplorer un changement de barème de dernière minute, dans le Grand Prix Amateur 1 à 1,20 m, dernière épreuve de la journée, provoquant un certain mécontentement parmi les cavaliers, privés de cette excitation qu’apporte un barrage. Certes, après un week-end aussi chargé, on peut être tenté d’en finir rapidement, d’autant plus que le public, à l’issue de l’épreuve majeure de cette journée, avait rapidement quitté les gradins. Inverser ces deux épreuves aurait permis de conserver le barème initialement prévu, sans doute plus long pour l’organisation du concours, mais bien plus gratifiant pour les amateurs qui auraient concouru devant un public et non devant des gradins vides.
Sarah Marteau
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