Inauguration du Centre d’Entraînement des chevaux de courses
Les pistes du Centre d’Entraînement du Parc du Cheval sont maintenant ouvertes depuis déjà quelques mois. L’inauguration officielle a été marquée par la venue d’Eric Woerth, ministre du budget.C’est Christian Porte, président du
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Parc du Cheval de Chazey-sur-Ain, qui a accueilli les personnalités présentes et précisé l’histoire et la réalité actuelle du Parc : « Le projet initié par les acteurs de la Filière est réussi, notait-il ; les manifestations équestres, d’élevage ou les entraînements en course cohabitent ici sans se gêner. Bientôt, le bâtiment de l’Afasec (école des jockeys), plus dix-huit logements sociaux, un bâtiment destiné à recevoir une antenne des Haras Nationaux et le Comité Régional d’Equitation seront opérationnels. Ces chantiers seront bientôt terminés pour certains, et se poursuivront durant les mois qui viennent. Tout devrait être terminé fin 2010 ».
Le directeur de France Galop évoquait quant à lui le « caractère œcuménique » du Parc, et « l’équilibre à trouver entre Paris et la province » sans oublier d’indiquer que 730 M€ venant des courses alimentent la filière équine.
Charles de la Verpillière, député de l’Ain rappelait qu’il a planché sur le projet il y a plus de 10 ans : « le résultat est à la hauteur de toutes mes espérances », appréciait-il, notant que le Parc du Cheval apporte un équilibre avec le parc industriel de la Plaine de l’Ain tout près, et qu’il représente 80 emplois. Il souhaitait par ailleurs que des liens entre les deux entités se développent.
Rachez Mazuir, président du Conseil Général et Jean-Jacques Queyranne, président de la Région soulignaient également cet aspect important. Le premier évoquait l’histoire du cheval dans l’Ain, et considérait ce Parc comme une « magnifique vitrine, un pôle au service de la filière ». Jean-Jacques Queyranne notait que Rhône Alpes « se situe en 2e position en ce qui concerne l’activité hippique et que 4 000 personnes y vivent du cheval ».
« Ni de gauche, ni de droite »
« Le cheval n’est ni de droite ni de gauche » : c’est ainsi que le ministre, également maire de Chantilly, débutait fort justement son allocution. « C’est un tour de force de faire cohabiter différentes activités équestres, soulignait Eric Woerth. Il n’oubliait pas d’évoquer le PMU qui fait partie de son portefeuille ministériel. « Nous allons autoriser les paris en ligne en les encadrant, c’est une chance pour la filière ».
Les intervenants, apparemment enthousiastes, ont semble-t-il tous apprécié cet outil au service du cheval, certains l’estimant « unique en France ».
F. M.-L.
Quelques chiffres
Rhône-Alpes 2e région équine
85 000 chevaux, 4 000 emplois, 600 centres équestres, 7 hippodromes.
Au Parc du Cheval de Chazey : 3 300 chevaux de course, 80 emplois.
Financement du centre d’entraînement
Pistes : 9 900 000 euros dont 500 000 financés par la Région Rhône-Alpes et 421 000 par le Conseil Général de l’Ain.
Les barns (boxes, bureaux, etc..) 3 925 000 financés en partie par la redistribution des gains des jeux.
Le directeur de France Galop évoquait quant à lui le « caractère œcuménique » du Parc, et « l’équilibre à trouver entre Paris et la province » sans oublier d’indiquer que 730 M€ venant des courses alimentent la filière équine.
Charles de la Verpillière, député de l’Ain rappelait qu’il a planché sur le projet il y a plus de 10 ans : « le résultat est à la hauteur de toutes mes espérances », appréciait-il, notant que le Parc du Cheval apporte un équilibre avec le parc industriel de la Plaine de l’Ain tout près, et qu’il représente 80 emplois. Il souhaitait par ailleurs que des liens entre les deux entités se développent.
Rachez Mazuir, président du Conseil Général et Jean-Jacques Queyranne, président de la Région soulignaient également cet aspect important. Le premier évoquait l’histoire du cheval dans l’Ain, et considérait ce Parc comme une « magnifique vitrine, un pôle au service de la filière ». Jean-Jacques Queyranne notait que Rhône Alpes « se situe en 2e position en ce qui concerne l’activité hippique et que 4 000 personnes y vivent du cheval ».
« Ni de gauche, ni de droite »
« Le cheval n’est ni de droite ni de gauche » : c’est ainsi que le ministre, également maire de Chantilly, débutait fort justement son allocution. « C’est un tour de force de faire cohabiter différentes activités équestres, soulignait Eric Woerth. Il n’oubliait pas d’évoquer le PMU qui fait partie de son portefeuille ministériel. « Nous allons autoriser les paris en ligne en les encadrant, c’est une chance pour la filière ».
Les intervenants, apparemment enthousiastes, ont semble-t-il tous apprécié cet outil au service du cheval, certains l’estimant « unique en France ».
F. M.-L.
Quelques chiffres
Rhône-Alpes 2e région équine
85 000 chevaux, 4 000 emplois, 600 centres équestres, 7 hippodromes.
Au Parc du Cheval de Chazey : 3 300 chevaux de course, 80 emplois.
Financement du centre d’entraînement
Pistes : 9 900 000 euros dont 500 000 financés par la Région Rhône-Alpes et 421 000 par le Conseil Général de l’Ain.
Les barns (boxes, bureaux, etc..) 3 925 000 financés en partie par la redistribution des gains des jeux.
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