Journée de formation ANSF en Auvergne
Dans un contexte économique difficile, il est plus que jamais important pour les éleveurs de bien produire et de mettre en adéquation l’offre et la demande. Tel pouvait être le leitmotiv de cette journée organisée conjointement par l’ANSF et
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le syndicat des éleveurs de chevaux de sang du puy de dôme à Orléat (63) le 29 mars 2010.
Au programme de cette formation animée avec maestria par Guillaume Blanc, une explication des grilles de notation, des notions de biomécanique, appréciation du modèle, évaluation des trois allures, effet induit du modèle sur l’utilisation du cheval de sport, évaluation de l’aptitude à l’obstacle tant monté qu’en liberté et pour finir, quelques conseils pour la présentation des équidés. Un programme chargé donc pour une journée riche en dialogue qui a passionné les 35 éleveurs qui avait fait le déplacement.
C’est encore le contexte économique qui doit inciter les éleveurs à faire preuve de clairvoyance dans le choix des poulinières et des accouplements car l’après-crise doit se préparer dès aujourd’hui. Il est donc important de repérer clairement les défauts et qualités des produits afin d’améliorer la qualité des chevaux présentés tout en économisant du temps, de l’énergie et de l’argent en ne s’obstinant pas sur des chevaux au potentiel limité.
Les effets d’une telle formation devraient être visibles au mieux dans un an, temps de gestation oblige. Rendez-vous donc sur les concours locaux qui , en fin de compte, sont bien là pour évaluer la qualité de la production à un instant T.
Au programme de cette formation animée avec maestria par Guillaume Blanc, une explication des grilles de notation, des notions de biomécanique, appréciation du modèle, évaluation des trois allures, effet induit du modèle sur l’utilisation du cheval de sport, évaluation de l’aptitude à l’obstacle tant monté qu’en liberté et pour finir, quelques conseils pour la présentation des équidés. Un programme chargé donc pour une journée riche en dialogue qui a passionné les 35 éleveurs qui avait fait le déplacement.
C’est encore le contexte économique qui doit inciter les éleveurs à faire preuve de clairvoyance dans le choix des poulinières et des accouplements car l’après-crise doit se préparer dès aujourd’hui. Il est donc important de repérer clairement les défauts et qualités des produits afin d’améliorer la qualité des chevaux présentés tout en économisant du temps, de l’énergie et de l’argent en ne s’obstinant pas sur des chevaux au potentiel limité.
Les effets d’une telle formation devraient être visibles au mieux dans un an, temps de gestation oblige. Rendez-vous donc sur les concours locaux qui , en fin de compte, sont bien là pour évaluer la qualité de la production à un instant T.
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