Régional hunter : Ingrid Lalande en beauté
Hunter Bourg-en-Bresse (01) 7 octobre Les épreuves de hunter mises en place il y a quelques années par Jacques Robert, bien relayées par différents dirigeants, font aujourd’hui l’unanimité : 160 engagés se sont rencontrés au CH de Bourg lors de ces finales régionales.
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De la belle équitation figurait donc au programme, bien servie par des jeunes et moins jeunes qui cherchent la précision, la maîtrise mais aussi la beauté du geste. Au menu : des contrats de foulées, des notes sur les courbes, la façon d’aborder l’obstacle, la trajectoire sur la barre, la cadence, l’équilibre du cheval et du cavalier également noté sur sa position, la discrétion de ses aides, la fixité.
Les protocoles, communiqués ensuite aux cavaliers, prennent tout en compte. Ces commentaires permettent évidemment d’affiner sa monte. Les fautes traditionnelles (refus ou chutes de barres) font également tomber les scores. A la question « faut-il être un peu masochiste pour pratiquer le hunter », les cavaliers répondent donc « non, il faut seulement chercher une certaine perfection, une meilleure connaissance de son cheval et de soi-même ». Et il y a des spécialistes !
Les trois cavaliers Pro 2 qui ont pu terminer leur tour ont été très bons. Mais dans les séries moins hautes aussi, on a constaté de réels progrès. La sauce hunter monte bien, la philosophie développée est bien comprise et elle a de nombreux fidèles.
Jacques Robert à la piste, à la présidence du jury et au micro, avec Elisabeth Laurent au jury également, et Isabelle Ouvrard sur le terrain ont géré un bon week-end de belle équitation, la complicité de la météo n’étant pas à négliger.
Florence Massard-Loslier
Les protocoles, communiqués ensuite aux cavaliers, prennent tout en compte. Ces commentaires permettent évidemment d’affiner sa monte. Les fautes traditionnelles (refus ou chutes de barres) font également tomber les scores. A la question « faut-il être un peu masochiste pour pratiquer le hunter », les cavaliers répondent donc « non, il faut seulement chercher une certaine perfection, une meilleure connaissance de son cheval et de soi-même ». Et il y a des spécialistes !
Les trois cavaliers Pro 2 qui ont pu terminer leur tour ont été très bons. Mais dans les séries moins hautes aussi, on a constaté de réels progrès. La sauce hunter monte bien, la philosophie développée est bien comprise et elle a de nombreux fidèles.
Jacques Robert à la piste, à la présidence du jury et au micro, avec Elisabeth Laurent au jury également, et Isabelle Ouvrard sur le terrain ont géré un bon week-end de belle équitation, la complicité de la météo n’étant pas à négliger.
Florence Massard-Loslier
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