Stage Hunter à Chazey
Le hunter, discipline apparentée à la fois au CSO et au dressage, a fait son apparition dans l’Ain il y a quelques années, grâce à Jacques Robert. Actuellement vice-président de la Fédération française d’équitation, le pédagogue qui sommeille
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en lui l’a incité à ne pas « lâcher l’affaire ». Il reprend volontiers son bâton de pèlerin pour apporter la bonne parole, expliquer encore et toujours pourquoi et comment le hunter est une discipline de choix, pour une équitation plus juste et plus confortable pour le cheval et son cavalier.
Preuve que le message est déjà bien passé, dix-huit stagiaires, bravant le froid et la neige, s’étaient donné rendez-vous sur les installations du Parc du Cheval à Chazey le 21 décembre et c’est sous le grand manège qu’ils ont « planché ».
Le matin, ils ont revu les fondamentaux et travaillé sur l’attitude du cheval et du cavalier, sur le plat et à l’obstacle. Un parcours les attendait l’après-midi.
Jacques Robert notait : « parmi les stagiaires, certains découvrent, d’autre pratiquent déjà et préparent le championnat de France ». Ce championnat aura d’ailleurs lieu à Bourg-en-Bresse, en juillet. S’y ajouteront des épreuves internationales du plus grand intérêt.
Pour l’heure, Jacques Robert, attentif au moindre détail et très clair dans ses explications, rappela les règles générales des hunters. Il demanda des interventions discrètes, recommanda la recherche de l’équilibre, du calme. « Pas de main » demandait le maître… Et ce n’était pas simple, les chevaux, avec le froid ambiant, se montrant plutôt chauds ! Pas de contrainte, pas de gène pour le cheval, mais une écoute réciproque à amener avec intelligence : tels étaient les buts de ce stage, proposé par le Comité Départemental d’Equitation, après le stage réservé aux enseignants qui a eu lieu le mois dernier.
F. M.-L.
Preuve que le message est déjà bien passé, dix-huit stagiaires, bravant le froid et la neige, s’étaient donné rendez-vous sur les installations du Parc du Cheval à Chazey le 21 décembre et c’est sous le grand manège qu’ils ont « planché ».
Le matin, ils ont revu les fondamentaux et travaillé sur l’attitude du cheval et du cavalier, sur le plat et à l’obstacle. Un parcours les attendait l’après-midi.
Jacques Robert notait : « parmi les stagiaires, certains découvrent, d’autre pratiquent déjà et préparent le championnat de France ». Ce championnat aura d’ailleurs lieu à Bourg-en-Bresse, en juillet. S’y ajouteront des épreuves internationales du plus grand intérêt.
Pour l’heure, Jacques Robert, attentif au moindre détail et très clair dans ses explications, rappela les règles générales des hunters. Il demanda des interventions discrètes, recommanda la recherche de l’équilibre, du calme. « Pas de main » demandait le maître… Et ce n’était pas simple, les chevaux, avec le froid ambiant, se montrant plutôt chauds ! Pas de contrainte, pas de gène pour le cheval, mais une écoute réciproque à amener avec intelligence : tels étaient les buts de ce stage, proposé par le Comité Départemental d’Equitation, après le stage réservé aux enseignants qui a eu lieu le mois dernier.
F. M.-L.
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