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Thomas Lévèque : le talent n’attend pas le nombre des années

Portrait Rien ne semblait destiner le jeune Thomas Lévèque au métier de cavalier, et pourtant… Il a fait vite, et même très vite… Originaire du Pas-de-Calais, fils de parents commerçants, c’est chez son grand-père, voisin d’un centre équestre, qu’il a son premier contact avec les chevaux. Il débute à cheval à 10 ans, comme beaucoup de jeunes, passe ses « galops Â» rapidement, et définitivement, se consacre au cheval. Il entame à 17 ans son parcours de formation comme cavalier professionnel, achète son premier cheval à 18 ans. CFA, bac pro en poche, il part en stage chez Bruno Broucqsault puis chez Jacques Bonnet où il reste 3 ans. Parallèlement, il débute en compétition. Une opportunité l’amène alors au Haras de Vulsain à Semur-en-Auxois, chez François Lévy. Il y travaille les jeunes chevaux et, à la suite du départ du cavalier de tête, récupère les chevaux de Grand Prix : il commence alors a être bien classé en épreuves nationales et en CSI. Il n’a que 26 ans… et déjà un titre de champion de France, avec un 4 ans.Il décide ensuite de travailler à son compte, à Belleville, et depuis peu à Neyron (Parc de Miribel-Jonage). Il commence par la réfection du sol du manège, la Segapal va s’occuper des écuries. Ensuite, viendront la reconstruction d’une salle de club et la réfection nécessaire de la carrière… Beaucoup de travail en perspective, mais le cavalier n’a pas hésité : « je suis content d’être ici, j’ai envie de pérenniser l’installation, d’améliorer le site, de le tirer vers le haut ». Pour ce faire, il est accompagné par trois salariés, tout aussi motivés…Le jeune homme vise la qualité : chaque cheval a des atouts qu’il souhaite valoriser, grâce au respect, à la confiance, à la complicité, mais aussi en l’amenant au top niveau de sa condition physique. Thomas coache également les propriétaires.Enfin, il envisage d’organiser sur le site, qui s’appelle maintenant « Ecuries Thomas Lévèque », des CSO et ce, dès 2014, privilégiant, dans un premier temps, les épreuves « club ».  F. M.-L.

Portrait

Rien ne semblait destiner le jeune Thomas Lévèque au métier de cavalier, et pourtant… Il a fait vite, et même très vite…

Originaire du Pas-de-Calais, fils de parents commerçants, c’est chez son grand-père, voisin d’un centre équestre, qu’il a son premier contact avec les chevaux. Il débute à cheval à 10 ans, comme beaucoup de jeunes, passe ses « galops Â» rapidement, et définitivement, se consacre au cheval. Il entame à 17 ans son parcours de formation comme cavalier professionnel, achète son premier cheval à 18 ans. CFA, bac pro en poche, il part en stage chez Bruno Broucqsault puis chez Jacques Bonnet où il reste 3 ans. Parallèlement, il débute en compétition. Une opportunité l’amène alors au Haras de Vulsain à Semur-en-Auxois, chez François Lévy. Il y travaille les jeunes chevaux et, à la suite du départ du cavalier de tête, récupère les chevaux de Grand Prix : il commence alors a être bien classé en épreuves nationales et en CSI. Il n’a que 26 ans… et déjà un titre de champion de France, avec un 4 ans.
Il décide ensuite de travailler à son compte, à Belleville, et depuis peu à Neyron (Parc de Miribel-Jonage). Il commence par la réfection du sol du manège, la Segapal va s’occuper des écuries. Ensuite, viendront la reconstruction d’une salle de club et la réfection nécessaire de la carrière… Beaucoup de travail en perspective, mais le cavalier n’a pas hésité : « je suis content d’être ici, j’ai envie de pérenniser l’installation, d’améliorer le site, de le tirer vers le haut ». Pour ce faire, il est accompagné par trois salariés, tout aussi motivés…
Le jeune homme vise la qualité : chaque cheval a des atouts qu’il souhaite valoriser, grâce au respect, à la confiance, à la complicité, mais aussi en l’amenant au top niveau de sa condition physique. Thomas coache également les propriétaires.
Enfin, il envisage d’organiser sur le site, qui s’appelle maintenant « Ecuries Thomas Lévèque », des CSO et ce, dès 2014, privilégiant, dans un premier temps, les épreuves « club ». 

F. M.-L.

27/02/2014

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