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FFE - cavaliers du haut niveau : le dialogue est renoué

Serge Lecomte, Pascal Dubois, Gilles Bertran de Balanda, Christian Paillot, Marcel Delestre et Laurent Elias viennent de rencontrer les principaux cavaliers du haut niveau français réunis sous l’égide de l’Acsof. « Le dialogue est renoué se réjouit
Hervé Godignon, président de l’Acsof. Certaines mises au point ont été faites. La confiance est retrouvée mais elle n’exclut pas le contrôle. Nous jugerons sur pièces. Nous voulons reconstruire ensemble quelque chose de nouveau. Entre gens intelligents, nous devons y arriver. »

Tous les cavaliers du haut niveau s’étaient mobilisés pour cette rencontre : Thimotée Anciaume, Eugénie et Florian Angot, Bosty, Hubert Bourdy, Robert Breul, Bruno Broucqsault, Edouard Couperie, Aymeric de Ponnat, Patrice Delaveau, Nicolas Delmotte, Hervé Godignon, Olivier Guillon, Michel Hécart, Jérôme Hurel, Olivier Jouanneteau, Pénélope Leprévost, Henri Prudent, Eric Navet, Jean-Marc Nicolas, Thierry Pomel, Michel Robert, Kévin Staut, Philippe Rosier et Xavier Leredde.

Un des objectifs était de clarifier des propos tenus par Christian Paillot et jugés ‘‘maladroits’’ par l’ensemble des cavaliers après Aix-la-Chapelle. Un autre objectif était de travailler au retour du haut niveau français sur la scène internationale.

Les cavaliers ont été écoutés et entendus. Dorénavant, ils participeront aux réunions de travail sur les projets sportifs et accord leur a été donné pour la création d’un poste de directeur sportif (à moyen terme). Directeur sportif qui serait en capacité d’organiser et de gérer les relations avec les propriétaires, avec les organisateurs (français et étrangers), avec les institutions, avec les cavaliers français et étrangers du haut niveau.

Ils se félicitent de l’attention trouvée auprès de Serge Lecompte. La prochaine réunion de travail est fixée au 13 novembre.

Pour Dominique Beguet, directeur du développement à l’Acsof, il s’agit d’une première démarche pour l’avenir du haut niveau. « Démarche qui concerne une bonne trentaine de cavaliers. L’Acsof, dit-il, ne délaisse pas pour autant les autres. »

Etienne Robert
01/11/2007

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