France Haras c’est demain
(en ligne le 08 octobre 2009) La disparition-réforme des Haras nationaux est en train de prendre un tour décisif. Le projet de constitution de GIP « France Haras » est dans sa phase finale sous l’égide de Nicole Blanc, la nouvelle directrice du futur ex-EPA les Haras nationaux.
L’Etat conservera 51 % du GIP, éleveurs et étalonniers privés se partageant les 49 %. Objectif : la professionnalisation de la gestion de la filière par les professionnels d’une part et l’EPA qui naîtra de la fusion HN-ENE d’autre part. Son activité sera centrée sur l’étalonnage, la génétique, l’identification, les services aux éleveurs et l’appui à l’international.
Combien de sites seront conservés sur les dix-neuf actuellement en service ? La question n’est pas tranchée. A priori, six ou sept. Saint-Lô ne fait pas partie de la liste officieuse. Dans un communiqué qu’il nous a fait parvenir, Jean Muris, au nom de la FNSF et de l’ADECNO assure « que des contacts au plus haut niveau sont maintenus afin d’être en temps utile en première ligne pour participer aux négociations qui conduiront à la mise en place du nouveau dispositif ». Le Pin, lui, fait partie des sites conservés. Philippe Martin, le président de la FEDECNO, qui a toujours plaidé pour le maintien d’un étalonnage concurrentiel semble avoir une longueur d’avance puisqu’il fait partie de ceux qui étaient conviés le 8 octobre à une réunion de concertation avec Nicole Blanc.
Les associations régionales d’éleveurs, elles, sont rassurées puisqu’une lettre du ministère vient de les informer que rien ne se fera sans elles.
Etienne Robert
Combien de sites seront conservés sur les dix-neuf actuellement en service ? La question n’est pas tranchée. A priori, six ou sept. Saint-Lô ne fait pas partie de la liste officieuse. Dans un communiqué qu’il nous a fait parvenir, Jean Muris, au nom de la FNSF et de l’ADECNO assure « que des contacts au plus haut niveau sont maintenus afin d’être en temps utile en première ligne pour participer aux négociations qui conduiront à la mise en place du nouveau dispositif ». Le Pin, lui, fait partie des sites conservés. Philippe Martin, le président de la FEDECNO, qui a toujours plaidé pour le maintien d’un étalonnage concurrentiel semble avoir une longueur d’avance puisqu’il fait partie de ceux qui étaient conviés le 8 octobre à une réunion de concertation avec Nicole Blanc.
Les associations régionales d’éleveurs, elles, sont rassurées puisqu’une lettre du ministère vient de les informer que rien ne se fera sans elles.
Etienne Robert
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