Jour JEM pour la Normandie
(en ligne le 09 avril 2009) La bonne nouvelle de cette quinzaine, c’est le choix de la Normandie pour l’organisation des jeux Equestres Mondiaux de 2014. Fantastique coup d’éclairage pour cette région, fantastique coup de projecteur pour l’élevage et les cavaliers. C’est
l’autre J pour cette terre d’élevage. La Normandie, en 2014, ce sera la France. Coup de chapeau au trio Région-Etat-Fédé qui a mené à bien cette affaire.
La nouvelle arrive au bon moment pour la Fédé, empêtrée dans le malaise du CSO en général et du haut niveau en particulier. On lira par ailleurs les grandes lignes de ce projet fédéral tant attendu. Pour une fois le mot « propriétaire » est employé. Pour une fois les propriétaires semblent pris en considération. « C’est peu, estime Danièle Mars, présidente de l’APCS, en tout cas pas assez pour dissiper le sentiment de lassitude et de désengagement qui règne chez les propriétaires ». Climat délétère qui a sans doute pesé dans la décision de Philippe Léoni et d’Hubert Bourdy de se retirer de la compétition.
Interrogé par Equidia, Eric Navet n’a pas donné dans la langue de bois. Son désaccord, il l’a exprimé dès le début à Laurent Elias. « Je ne suis pas disponible, dit le champion du monde, j’ai une écurie à faire touner et beaucoup de chevaux à travailler. Compte tenu du climat qui règne en ce moment, ajoute-t-il, puisque l’ACSOF dont je suis le vice-président est jugée non représentative, je ne peux pas adhérer à ce projet ». Juste retour de compliment que Christian Paillot, invité sur le plateau d’Equidia, a dû avoir un peu de mal à avaler. Curieux en effet qu’on se permette d’annoncer sa collaboration à une offre qu’il a déclinée et justifiée. Même scénario pour Gilles Bertran de Balanda qui, lui aussi, ce qui n’étonnera personne, a refusé.
Ce projet fédéral contient de bonnes mesures certes, mais l’apaisement ne semble pas pour demain.
Autre bonne nouvelle, la seconde place de Michel Robert à Arezzo avec sa fantastique Kellemoi de Pépita, née en Auvergne chez Alain Gasnier et conçue du côté de Riom sous la houlette de Laurent Laporte. Au fait, son CSI**, c’est du 17 au 19 avril. Voilà une idée de sortie.
Etienne Robert
La nouvelle arrive au bon moment pour la Fédé, empêtrée dans le malaise du CSO en général et du haut niveau en particulier. On lira par ailleurs les grandes lignes de ce projet fédéral tant attendu. Pour une fois le mot « propriétaire » est employé. Pour une fois les propriétaires semblent pris en considération. « C’est peu, estime Danièle Mars, présidente de l’APCS, en tout cas pas assez pour dissiper le sentiment de lassitude et de désengagement qui règne chez les propriétaires ». Climat délétère qui a sans doute pesé dans la décision de Philippe Léoni et d’Hubert Bourdy de se retirer de la compétition.
Interrogé par Equidia, Eric Navet n’a pas donné dans la langue de bois. Son désaccord, il l’a exprimé dès le début à Laurent Elias. « Je ne suis pas disponible, dit le champion du monde, j’ai une écurie à faire touner et beaucoup de chevaux à travailler. Compte tenu du climat qui règne en ce moment, ajoute-t-il, puisque l’ACSOF dont je suis le vice-président est jugée non représentative, je ne peux pas adhérer à ce projet ». Juste retour de compliment que Christian Paillot, invité sur le plateau d’Equidia, a dû avoir un peu de mal à avaler. Curieux en effet qu’on se permette d’annoncer sa collaboration à une offre qu’il a déclinée et justifiée. Même scénario pour Gilles Bertran de Balanda qui, lui aussi, ce qui n’étonnera personne, a refusé.
Ce projet fédéral contient de bonnes mesures certes, mais l’apaisement ne semble pas pour demain.
Autre bonne nouvelle, la seconde place de Michel Robert à Arezzo avec sa fantastique Kellemoi de Pépita, née en Auvergne chez Alain Gasnier et conçue du côté de Riom sous la houlette de Laurent Laporte. Au fait, son CSI**, c’est du 17 au 19 avril. Voilà une idée de sortie.
Etienne Robert
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