La grande misère du CSO
(en ligne le 12 février 2009) Le sujet est d’une actualité brûlante et inquiétante. 2008 fut, pour beaucoup de cavaliers amateurs une année noire. En raison principalement de la mise en place d’un nouveau règlement qui en déstabilisa plus d’un. De la nouveauté devaient
naître la clarté et la lisibilité. Raté. Notre sport s’est considérablement compliqué au regard des pratiquants et opacifié vis-à-vis du « grand public » qui n’y comprend toujours rien. Ajoutons à cela, la crise du pétrole, la suppression des (modestes) gains, la hausse du coût des engagements et des frais annexes, la crise tout court. Le tableau est bien sombre.
Mais qui donc veut tuer les amateurs ? Ce sont eux qui font vivre le système, amateurs pratiquants, comme amateurs éleveurs. Comment, les uns et les autres vont-ils réagir en 2009 ? Le mécontentement est perceptible et les premiers résultats sont là : baisse des engagements et polémique assez vive contre les organisateurs. Est-ce bien raisonnable d’opposer les cavaliers aux organisateurs ? Non. Il faut expliquer et chercher les raisons du malaise.
C’est ce que tentent de faire, en page intérieure de ce journal (page 5) deux cavaliers amateurs, Gaetan Groene et Thibaud Sailly. Deux regards et deux réflexions intéressantes puisque Gaetan apporte un éclairage sur une expérience d’organisation, celle du haras des Celtes en région parisienne, et Thibaud, sous le label Acsof, envisagent des solutions « réglementaires ». Les conclusions convergent : la taxe fédérale sur les engagements
« plombent » pratiquants et organisateurs.
Etienne Robert
Mais qui donc veut tuer les amateurs ? Ce sont eux qui font vivre le système, amateurs pratiquants, comme amateurs éleveurs. Comment, les uns et les autres vont-ils réagir en 2009 ? Le mécontentement est perceptible et les premiers résultats sont là : baisse des engagements et polémique assez vive contre les organisateurs. Est-ce bien raisonnable d’opposer les cavaliers aux organisateurs ? Non. Il faut expliquer et chercher les raisons du malaise.
C’est ce que tentent de faire, en page intérieure de ce journal (page 5) deux cavaliers amateurs, Gaetan Groene et Thibaud Sailly. Deux regards et deux réflexions intéressantes puisque Gaetan apporte un éclairage sur une expérience d’organisation, celle du haras des Celtes en région parisienne, et Thibaud, sous le label Acsof, envisagent des solutions « réglementaires ». Les conclusions convergent : la taxe fédérale sur les engagements
« plombent » pratiquants et organisateurs.
Etienne Robert
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