Une première
Masters Ibérique Avignon (84) 14-18 janvier L’association MIC orchestre tous les ans au cœur de Cheval Passion en Avignon les épreuves de dressage des Masters Européen du Cheval Ibérique. Des rencontres hautes en couleur et proches des traditions où Carlos Pinto, le cavalier du Loiret s’est
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rendu pour la première fois
Une kyrielle de reprises imposées et deux RLM forment la trame de ces journées où participaient quatre vingt chevaux, issus du berceau ibérique (lusitanien et pure race espagnole) pour 140 entrées en piste. Parmi les cavaliers de haut niveau qui n’ont pas hésité à honorer de leur présence cette finale aux accents Européens (Italie, Belgique, France à travers quatre pôles régionaux), on reconnaissait Carlos Pinto (présent aux derniers JO), Catherine Durand Henriquet (cavalière olympique), Catherine Amos-Jacob (cavalière et juge international) ainsi que la jeune Alizée Froment qui a sa place aujourd’hui dans l’équipe de France jeunes cavaliers.
Pour Carlos Pinto, ce concours correspondait à un tournant pour son cheval de tête Notavel JCL*Puy du Fou. En effet, après les olympiades et une prochaine retraite programmée, il est nécessaire de réintégrer ce cheval lusitanien dans ce circuit particulier que représentent les Masters du Cheval Ibérique. Si les cavaliers de dressage « classique » connaissent bien le couple, ce dernier ne s’est jamais produit dans les reprises inscrites au MCI. Ces dernières restent dans la ligne des reprises officielles FFE et FEI, mais elles se déroulent souvent en costume et harnachement Ibériques, ce qui est apprécié du public et des juges. « Je voulais que le cheval se positionne au coeur de ce circuit de passionnés. De plus je suis venu en compagnie de chevaux du « Hara Villa do Rotiro » installé au Brésil afin de faire la promotion de ces sujets ».
Carlos Pinto ne regrette en rien ce déplacement « C’est sympathique, je n’étais jamais venu sur ce salon. C’est une grande rencontre de divers publics. Il y a peut-être un peu trop de choses à voir pour mon goût, mais c’est une belle organisation et un bel événement ». Impliqué de longue date dans l’élevage et la mise en compétition des lusitaniens, Carlos Pinto réalisait ici deux prestations. La RLM Ibérica ?(niveau A) et la Magistrale (Niveau A3). ?« Ces compétitions sont idéales pour les cavaliers qui montent ce type de chevaux. Ils sont d’ailleurs de plus en plus nombreux à participer sur les épreuves du circuit classique et a obtenir des résultats de plus en plus prometteurs. Le couple que je forme avec Notavel démontre également que l’on peut arriver au bout de son rêve et que celui-ci devient alors une expérience fabuleuse ».
Catherine Roux
Une kyrielle de reprises imposées et deux RLM forment la trame de ces journées où participaient quatre vingt chevaux, issus du berceau ibérique (lusitanien et pure race espagnole) pour 140 entrées en piste. Parmi les cavaliers de haut niveau qui n’ont pas hésité à honorer de leur présence cette finale aux accents Européens (Italie, Belgique, France à travers quatre pôles régionaux), on reconnaissait Carlos Pinto (présent aux derniers JO), Catherine Durand Henriquet (cavalière olympique), Catherine Amos-Jacob (cavalière et juge international) ainsi que la jeune Alizée Froment qui a sa place aujourd’hui dans l’équipe de France jeunes cavaliers.
Pour Carlos Pinto, ce concours correspondait à un tournant pour son cheval de tête Notavel JCL*Puy du Fou. En effet, après les olympiades et une prochaine retraite programmée, il est nécessaire de réintégrer ce cheval lusitanien dans ce circuit particulier que représentent les Masters du Cheval Ibérique. Si les cavaliers de dressage « classique » connaissent bien le couple, ce dernier ne s’est jamais produit dans les reprises inscrites au MCI. Ces dernières restent dans la ligne des reprises officielles FFE et FEI, mais elles se déroulent souvent en costume et harnachement Ibériques, ce qui est apprécié du public et des juges. « Je voulais que le cheval se positionne au coeur de ce circuit de passionnés. De plus je suis venu en compagnie de chevaux du « Hara Villa do Rotiro » installé au Brésil afin de faire la promotion de ces sujets ».
Carlos Pinto ne regrette en rien ce déplacement « C’est sympathique, je n’étais jamais venu sur ce salon. C’est une grande rencontre de divers publics. Il y a peut-être un peu trop de choses à voir pour mon goût, mais c’est une belle organisation et un bel événement ». Impliqué de longue date dans l’élevage et la mise en compétition des lusitaniens, Carlos Pinto réalisait ici deux prestations. La RLM Ibérica ?(niveau A) et la Magistrale (Niveau A3). ?« Ces compétitions sont idéales pour les cavaliers qui montent ce type de chevaux. Ils sont d’ailleurs de plus en plus nombreux à participer sur les épreuves du circuit classique et a obtenir des résultats de plus en plus prometteurs. Le couple que je forme avec Notavel démontre également que l’on peut arriver au bout de son rêve et que celui-ci devient alors une expérience fabuleuse ».
Catherine Roux
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