Le Belge Maxime Harmegnies en profite pour travailler

En France depuis trois ans, Maxime Harmegnies travaille chez Brice Orsolini, une importante écurie de commerce située à Dourdan. Il monte une vingtaine de chevaux, tous à vendre. « Nous sommes venus au Mans car il y a beaucoup d’épreuves. C’est donc plus facile pour travailler les chevaux. Je monte par exemple Cancun 14, une jument que j’ai récupérée seulement mercredi dernier. Le but de ce week-end est de trouver rapidement les boutons, que nous formions un couple pour que, dans quelques semaines, elle soit du déplacement à Lisbonne, et qu’ensemble nous représentions la Belgique à l’occasion de la Coupe des Nations ».


Le jeune cavalier belge de 27 ans sait qu’il doit avec les chevaux qu’on lui confie construire quelque chose rapidement. « C’est mon métier. Et je dois me mettre très vite avec un cheval. Avec certaines montures, j’ai un contrat moral avec Brice Orsolini. Je peux les garder un peu plus longtemps. Sachant qu’ils ne seront, tout de même, pas très longtemps dans les écuries ». C’est le cas de Vegas de Saint Hermelle. « Il est à la maison depuis un mois et demi. Il est très prometteur. Et cet international du Mans me permet de préparer les 4* étoiles de Fontainebleau et de Dinard ».