Quatre questions à Philippe Rossi, ?organisateur du Boulerie Jump

pas été atteint. Nous retentons l’expérience du 1er au 3 mai prochain.

Toujours en mai, du 22 au 24, la seconde édition du concours international des ambassadors. En 2008, les seniors avaient été séduits par le cadre et par l’organisation. Ils seront de retour cette année avant leur traditionnel rendez-vous de la Baule.

Le dressage fera son entrée sur les pistes du Boulerie Jump cette année. Après le horse-ball l’année passée. Prévu du 17 au 19 avril, ce rendez-vous est attendu par les cavaliers de l’équipe de France. La plupart seront présents. Ce sera un grand moment. Des Grand Prix sont au programme dont un en musique.

Enfin, le Grand Prix de la Sarthe, étape du Grand National promet du 28 au 30 août, une belle seconde édition.

Le programme sera le même qu’en 2008. Les cavaliers de l’équipe de France seront présents. Ils sont assidus à cet événement mis en place par la Fédération Française. Le Grand Prix à 1,50 m les prépare pour les grandes échéances.

Le championnat de France des cavaliers amateurs en juillet ?

Avec le Directeur Technique National, Pascal Dubois, nous avons travaillé et arrêté le cahier des charges. Mille cavaliers seront en piste par jour. Ce sera un nouveau format. Plus court que les anciennes éditions. Puisque couru sur trois jours au lieu de quatre. Ce nouveau programme arrange tout le monde. Évite de bloquer les cavaliers qui viennent de toute la France, une grande partie de la semaine.

Du fait des infrastructures du Boulerie Jump, toutes les finales seront disputées le dimanche. Ainsi tous les cavaliers passeront sur la piste rouge au moins une fois et ce championnat prendra une nouvelle envergure.

La crise dans l’équitation se fait sentir ?

Nous avons anticipé l’éventuelle crise, puisque nous avons doublé les dotations des épreuves pro et amateurs. Parallèlement nous diminuons le montant des engagements des amateurs. Les cavaliers vont faire moins de concours cette année et participer à ceux dont la dotation est plus importante.

Sur ce concours, nous avons enregistré 1 700 engagements. En 2008, pour les mêmes dates, nous en avions 1 200.

Pourquoi un Grand Prix 1,45 m sur ce concours ?

Dans le calendrier, il y a uniquement le concours d’Auvers qui est en concurrence avec nous. Les cavaliers susceptibles de concourir des épreuves à 1,45 m sont peu nombreux. Ils se répartissent les concours. Nous en avons 36, c’est satisfaisant. À Auvers, ils sont 20. Et ce sont pour la plupart les Normands. Ils sont restés chez eux. Dans la saison, nous aurons plusieurs rendez-vous de ce niveau. Ils sont importants pour la renommée et la valorisation du concours.

S. P.