Fête et Concours au Haras de Pfaffenhoffen (67)
Dimanche 16 août a eu lieu un concours d’utilisation spécial Ardennais sur le site de la station des Haras Nationaux de Pfaffenhoffen. Cette étape était la dernière avant la finale de Vittel (lire par ailleurs).C’est le Syndicat des Eleveurs
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du Val de Moder qui organisait l’événement, en parallèle avec une épreuve de loisir attelage, en y adjoignant des épreuves et démonstrations d’équitation diverses. Ceci a permis d’attirer un public nombreux sur le site. En effet, une petite fête hippique se déroulait sur la carrière de travail derrière l’écurie des étalons, et les pelouses autour étaient peuplées de badauds profitant autant du spectacle que du bain de soleil.
L’après-midi a vu se dérouler le parcours de maniabilité, très technique avec de nombreuses dénivellations, dont un redoutable passage de fossé, et des courbes serrées entre les portes qui se trouvaient sur la carrière de présentation. Les Ardennais ont su se montrer à la hauteur de la difficulté et offrir un beau spectacle aux personnes assemblées autour de la piste.
Les organisateurs avaient aussi prévu une démonstration de labour, spectacle rare, avec deux charrues tirées par des paires de chevaux de trait. L’une des deux était d’ailleurs tirée par un couple de poulinières auxquelles étaient sagement attachés en licol leurs poulains de l’année. Ceux- là connaîtront déjà le métier avant même d’avoir un mors en bouche.
M. L. S.
L’après-midi a vu se dérouler le parcours de maniabilité, très technique avec de nombreuses dénivellations, dont un redoutable passage de fossé, et des courbes serrées entre les portes qui se trouvaient sur la carrière de présentation. Les Ardennais ont su se montrer à la hauteur de la difficulté et offrir un beau spectacle aux personnes assemblées autour de la piste.
Les organisateurs avaient aussi prévu une démonstration de labour, spectacle rare, avec deux charrues tirées par des paires de chevaux de trait. L’une des deux était d’ailleurs tirée par un couple de poulinières auxquelles étaient sagement attachés en licol leurs poulains de l’année. Ceux- là connaîtront déjà le métier avant même d’avoir un mors en bouche.
M. L. S.
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