Krestin Deichmüller, l’imbattable
CEI Sant-Agnant 55) 3 octobre Suisse Allemagne et France dans le top 5 au classement scratch mais la stratégie diabolique de la cavalière allemande a payé. Elle remporte l’épreuve de 130 km à 17,02 km/h et 8 minutes d’avance sur la française Solenne LegrosDès
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le départ dans le noir Krestin Deischmüller et son puissant et solide arabe Bokal bluffent l’assistance. Pas de lampe frontale pour la cavalière qui prend la tête de la course au grand galop, amples foulées même pour le passage de route 5 km plus loin. Une prise de risque qu’elle explique plus tard : « J’avais confiance en l’organisation et je ne voulais pas que les autres cavaliers puissent suivre ma lumière. » Cette tactique lui permet de gagner ?11 minutes sur la française Solenne Legros et la suissesse Lea Gabriel qui elles aussi, dès la première boucle de 39 km, jouent la gagne.
Le turbo de Bokal
Ces 11 minutes de début de course Solenne et Léa ont bon espoir de les remonter et elles font tout pour. Elles collent à la cavalière allemande et à l’arrivée de la deuxième boucle de 39 km, encore, Solenne gagne cinq minutes. Tous les espoirs sont permis. Mais c’est sans compter sur la très technique et sélective boucle 3 de 32 km qui en épuise plus d’un. Bokal met son turbo en marche et ne fait qu’une bouchée des longs dénivelés successifs. Le couple passe l’entrée du contrôle vétérinaire en 3 minutes. Bokal est frais comme un gardon. Il reste à manger les 20 derniers kilomètres bien vallonnés. Ce qu’il fait comme un guerrier. La victoire est au bout malgré l’attaque de Pierre Dolay sur Nuit Sauvage. Tous les quatre ont couru cette dernière boucle à presque 19 km/h et en avaient encore sous le capot mais la stratégie de Krestin s’est révélée imparable. Interrogée sur sa technique d’entraînement elle confie : « Bokal qui a 10 ans a commencé son entraînement en 2008. Je le monte entre 10 et 20 km sept jours sur sept avec une fois par mois une sortie de 80 km. Cinq jours avant la course je ne fais plus que du travail à pied pour le gymnastiquer. »
CEI* même combat
Du côté du CEI* quatre cavaliers jouent la gagne, Grégory Caille sur Halima El Oued, Sandra Edel sur Borodyn de Pawi, Jean-Christophe Noël et Samuel Grosjean mais ils ne jouent pas à égalité : la jument de Grégory connaît parfaitement le circuit pour y avoir été entraînée pendant plusieurs années. Sandra attaque fort avec les premiers 39 km courus à 20,01 km/h. Mais la traître boucle de 32 km et ses longues lignes droites calme les ardeurs à l’identique des cavaliers de **. Ceux qui ont démarré trop fort s’effondrent. Seul Grégory tire son épingle du jeu et remporte l’épreuve à 17,46 km/h.
La boucle de 32 km la terrible commune aux deux épreuves aura vraiment fait office de juge de paix.
Le turbo de Bokal
Ces 11 minutes de début de course Solenne et Léa ont bon espoir de les remonter et elles font tout pour. Elles collent à la cavalière allemande et à l’arrivée de la deuxième boucle de 39 km, encore, Solenne gagne cinq minutes. Tous les espoirs sont permis. Mais c’est sans compter sur la très technique et sélective boucle 3 de 32 km qui en épuise plus d’un. Bokal met son turbo en marche et ne fait qu’une bouchée des longs dénivelés successifs. Le couple passe l’entrée du contrôle vétérinaire en 3 minutes. Bokal est frais comme un gardon. Il reste à manger les 20 derniers kilomètres bien vallonnés. Ce qu’il fait comme un guerrier. La victoire est au bout malgré l’attaque de Pierre Dolay sur Nuit Sauvage. Tous les quatre ont couru cette dernière boucle à presque 19 km/h et en avaient encore sous le capot mais la stratégie de Krestin s’est révélée imparable. Interrogée sur sa technique d’entraînement elle confie : « Bokal qui a 10 ans a commencé son entraînement en 2008. Je le monte entre 10 et 20 km sept jours sur sept avec une fois par mois une sortie de 80 km. Cinq jours avant la course je ne fais plus que du travail à pied pour le gymnastiquer. »
CEI* même combat
Du côté du CEI* quatre cavaliers jouent la gagne, Grégory Caille sur Halima El Oued, Sandra Edel sur Borodyn de Pawi, Jean-Christophe Noël et Samuel Grosjean mais ils ne jouent pas à égalité : la jument de Grégory connaît parfaitement le circuit pour y avoir été entraînée pendant plusieurs années. Sandra attaque fort avec les premiers 39 km courus à 20,01 km/h. Mais la traître boucle de 32 km et ses longues lignes droites calme les ardeurs à l’identique des cavaliers de **. Ceux qui ont démarré trop fort s’effondrent. Seul Grégory tire son épingle du jeu et remporte l’épreuve à 17,46 km/h.
La boucle de 32 km la terrible commune aux deux épreuves aura vraiment fait office de juge de paix.
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