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Produire pour vendre : tout un programme…

Journée intéressante et très bien organisée qui a rassemblé soixante-dix personnes dans la salle de restauration du pôle hippique de Lorraine de Rosières. Sous l’égide du réseau économique de la filière équine de la chambre d’agriculture de Lorraine, avec Emilie Frustin et de l’IFCE,  les débats ont été animés par Christian Haessler (IFCE).  Accueilli par Jean-Louis Pinon, le public a assisté en matinée aux exposés de quatre intervenants l’après-midi étant consacré à une table ronde avec 7 intervenants. Puis une démonstration pratique dans le manège sur la caractérisation des chevaux. L’assistance était composée de quelques éleveurs, d’intervenants de la filière équine (moniteurs, maréchaux, cavaliers, salariés…) et d’un groupe d’étudiants en BTS du lycée EPL Agro de Bar-le-Duc.Après l’accueil de Jean-Loui Pinon, Juliane Delahaize  (IFCE) a montré les « tendances économiques de la filière équine en 2012-2013 », suivie de Bernard Morhain (Institut de l’élevage) et président de l’Adeclor qui a présenté  « les principaux résultats technico-économiques des entreprises équines ».Et toujours avant la pause déjeuner, Xavier Dornier(IFCE) et Emilie Frustin ont respectivement parlé de « la commercialisation des chevaux » et « le coût de production d’un cheval de 3 ans en Lorraine est-il en adéquation avec le marché »…   Tout un programme !  L’après-midi, la table ronde menée et animée par Guillaume Blanc (IFCE) a permis au public de lancer bien des questions (souvent plutôt axées acheteur, au grand dam des éleveurs, avec toujours la TVA venant gravement grever la comptabilité). A la tribune, les personnes prenant la parole étaient de secteurs très diversifiés : Ruedi Von Niederhausern (haras national suisse à Avanches), Alain Fortin (cavalier professionnel et délégué régional de la chambre syndicale du commerce des chevaux en France), Delphine Marotta (chef d’exploitation du centre équestre de Vieux Fey, Meurthe et Moselle), J.-L. Pinon (conseil du cheval), Nicolas Pargon (agriculteur et éleveur de chevaux de sport sous l’affixe « du jardin »), Christian Haessler (IFCE) et Guillaume Blanc (IFCE).  Les débats ont été riches, chacun y trouvant plus ou moins la réponse aux questions qu’il se pose…selon ses problèmes. Pour terminer la journée, Pierre Fontaine et son équipe ont montré dans le manège comment ils procédaient pour établir la caractérisation des chevaux avec deux pensionnaires actuellement dans les boxes de la SCIC.Philippe Georgé  

Journée intéressante et très bien organisée qui a rassemblé soixante-dix personnes dans la salle de restauration du pôle hippique de Lorraine de Rosières. Sous l’égide du réseau économique de la filière équine de la chambre d’agriculture de Lorraine, avec Emilie Frustin et de l’IFCE,  les débats ont été animés par Christian Haessler (IFCE).  Accueilli par Jean-Louis Pinon, le public a assisté en matinée aux exposés de quatre intervenants l’après-midi étant consacré à une table ronde avec 7 intervenants. Puis une démonstration pratique dans le manège sur la caractérisation des chevaux. 
L’assistance était composée de quelques éleveurs, d’intervenants de la filière équine (moniteurs, maréchaux, cavaliers, salariés…) et d’un groupe d’étudiants en BTS du lycée EPL Agro de Bar-le-Duc.
Après l’accueil de Jean-Loui Pinon, Juliane Delahaize  (IFCE) a montré les « tendances économiques de la filière équine en 2012-2013 », suivie de Bernard Morhain (Institut de l’élevage) et président de l’Adeclor qui a présenté  « les principaux résultats technico-économiques des entreprises équines ».
Et toujours avant la pause déjeuner, Xavier Dornier(IFCE) et Emilie Frustin ont respectivement parlé de « la commercialisation des chevaux » et « le coût de production d’un cheval de 3 ans en Lorraine est-il en adéquation avec le marché »…  

Tout un programme ! 

L’après-midi, la table ronde menée et animée par Guillaume Blanc (IFCE) a permis au public de lancer bien des questions (souvent plutôt axées acheteur, au grand dam des éleveurs, avec toujours la TVA venant gravement grever la comptabilité). A la tribune, les personnes prenant la parole étaient de secteurs très diversifiés : Ruedi Von Niederhausern (haras national suisse à Avanches), Alain Fortin (cavalier professionnel et délégué régional de la chambre syndicale du commerce des chevaux en France), Delphine Marotta (chef d’exploitation du centre équestre de Vieux Fey, Meurthe et Moselle), J.-L. Pinon (conseil du cheval), Nicolas Pargon (agriculteur et éleveur de chevaux de sport sous l’affixe « du jardin »), Christian Haessler (IFCE) et Guillaume Blanc (IFCE).  Les débats ont été riches, chacun y trouvant plus ou moins la réponse aux questions qu’il se pose…selon ses problèmes.

Pour terminer la journée, Pierre Fontaine et son équipe ont montré dans le manège comment ils procédaient pour établir la caractérisation des chevaux avec deux pensionnaires actuellement dans les boxes de la SCIC.

Philippe Georgé

 

28/11/2013

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