Un beau final pour les tests des 30 jours
Le 14 février dernier, l’Adeclor clôturait la cinquième édition du test des 30 jours, dans le manège de Rosières-aux-Salines. Pour l’occasion les chevaux ayant participé à un des Test des 30 jours ou bien même aux deux, devaient enchaîner
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un parcours de cinq obstacles.
De l’avis général, ce cinquième cru a été plutôt bon. Propriétaires ou simples visiteurs ont tous salué le travail accompli. « Un cheval se forme sur une durée de trois ans», explique Bernard Poincelot, l’éleveur de Trondes, propriétaire de Reyveur des Proyes qui a participé à la deuxième session, « mais la façon dont il est pris à ses début compte beaucoup. Et c’est dans ce sens que ce test est un atout pour les jeunes chevaux lorrains. En effet, lors de ces sessions les chevaux évoluent bien car l’encadrement est qualifié pour cette tâche ». Alors il est vrai que durant ces deux sessions peu de ventes ont été réalisées même si quelques chevaux sont encore en discussion (le prix moyen d’un cheval entré dans ce programme varie entre 8 000 et 15 000 €). Mais comme le soulignent Alain Fortin et Philippe Bontant qui encadraient en alternance ces deux stages intensifs : « les chevaux se sont plutôt bien adaptés. Ils ont été valorisés par les tests, c’est certain, sans compter qu’ils ont étés vus par le public. » Argument auquel les éleveurs ne sont pas insensibles.
Lors de cette dernière grande après midi de « gala » du 14 février, tous les chevaux ont montré leur personnalité et leur tempérament sur un parcours d’obstacle à leur mesure. Mais pour eux, le travail est loin d’être fini. Car si les chevaux bénéficient d’une certaine renommée grâce à ces différentes sessions, ils ont encore tout à prouver. La grande majorité de ces jeunes seront d’ailleurs toujours visibles cette année mais sur les terrains de concours, cette fois.
Alix Thomas
De l’avis général, ce cinquième cru a été plutôt bon. Propriétaires ou simples visiteurs ont tous salué le travail accompli. « Un cheval se forme sur une durée de trois ans», explique Bernard Poincelot, l’éleveur de Trondes, propriétaire de Reyveur des Proyes qui a participé à la deuxième session, « mais la façon dont il est pris à ses début compte beaucoup. Et c’est dans ce sens que ce test est un atout pour les jeunes chevaux lorrains. En effet, lors de ces sessions les chevaux évoluent bien car l’encadrement est qualifié pour cette tâche ». Alors il est vrai que durant ces deux sessions peu de ventes ont été réalisées même si quelques chevaux sont encore en discussion (le prix moyen d’un cheval entré dans ce programme varie entre 8 000 et 15 000 €). Mais comme le soulignent Alain Fortin et Philippe Bontant qui encadraient en alternance ces deux stages intensifs : « les chevaux se sont plutôt bien adaptés. Ils ont été valorisés par les tests, c’est certain, sans compter qu’ils ont étés vus par le public. » Argument auquel les éleveurs ne sont pas insensibles.
Lors de cette dernière grande après midi de « gala » du 14 février, tous les chevaux ont montré leur personnalité et leur tempérament sur un parcours d’obstacle à leur mesure. Mais pour eux, le travail est loin d’être fini. Car si les chevaux bénéficient d’une certaine renommée grâce à ces différentes sessions, ils ont encore tout à prouver. La grande majorité de ces jeunes seront d’ailleurs toujours visibles cette année mais sur les terrains de concours, cette fois.
Alix Thomas
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