Un collectif qui bouge

Le collectif Chevaux en Colère : Christelle Ferrer (CRE-LR), Laurent Sarzana (Pdt GHN LR), Jacob Legros (pdt CRE-LR), Patrick Viala (ATACA et Chambre agriculture du Gard), Hugues Calvin (pdt du CELR), Frédric Pradaud (Cheval Colère) Les cavaliers du Languedoc-Roussillon sont montés à la grande manif de Paris le 24 novembre. Dès le 12 novembre, ils ont commencé à manifester leur mécontentement par des opérations escargot dans la région. Extraits des déclaration des membres du collectif :« La filière cheval, que le Conseil des Equidés du Languedoc-Roussillon représente, dénonce de façon unie l’injustice fiscale qui a d’abord touché les éleveurs équins et maintenant toutes nos activités. Je rappelle que nos entreprises d’élevages, de pensions de chevaux, de tourisme équestre, d’équitation génèrent une économie agricole, durable au niveau social et environnemental, et des emplois non délocalisables... » Hugues Calvin, Président du Conseil des Equidés Languedoc Roussillon.« Le gouvernement par la voix de M. Stéphane Le Foll, Ministre de l’agriculture, s’était engagé à préserver les centres équestres. Mais aujourd’hui les engagements et le respect de la parole donnée se sont envolés de manière sournoise, refusant ainsi de nous défendre.Où sont nos députés européens, nos élus de la nation, nos élus de proximité ?Aucun doute que les professionnels et les pratiquants s’en souviendront prochainement lors des prochaines échéances électorales. » Jacob Legros CRE-LR et Laurent Sarzana GHN.« Depuis le 1er janvier 2013, les éleveurs équins sont les premiers touchés par la hausse de la TVA, c’est intolérable. Un poulain né, élevé et dressé par un professionnel cotisant à la Mutualité Sociale Agricole, dans des herbages éligibles par la Politique Agricole Commune de l’Europe est un Produit Agricole. Il doit bénéficier d’un taux réduit de TVA. » Patrick Viala, responsable équin Chambre d’agriculture Languedoc Roussillon.

Les cavaliers du Languedoc-Roussillon sont montés à la grande manif de Paris le 24 novembre. Dès le 12 novembre, ils ont commencé à manifester leur mécontentement par des opérations escargot dans la région. Extraits des déclaration des membres du collectif :
« La filière cheval, que le Conseil des Equidés du Languedoc-Roussillon représente, dénonce de façon unie l’injustice fiscale qui a d’abord touché les éleveurs équins et maintenant toutes nos activités. Je rappelle que nos entreprises d’élevages, de pensions de chevaux, de tourisme équestre, d’équitation génèrent une économie agricole, durable au niveau social et environnemental, et des emplois non délocalisables... »

Hugues Calvin, Président du Conseil des Equidés Languedoc Roussillon.
« Le gouvernement par la voix de M. Stéphane Le Foll, Ministre de l’agriculture, s’était engagé à préserver les centres équestres. Mais aujourd’hui les engagements et le respect de la parole donnée se sont envolés de manière sournoise, refusant ainsi de nous défendre.
Où sont nos députés européens, nos élus de la nation, nos élus de proximité ?
Aucun doute que les professionnels et les pratiquants s’en souviendront prochainement lors des prochaines échéances électorales. »

Jacob Legros CRE-LR et Laurent Sarzana GHN.
« Depuis le 1^er janvier 2013, les éleveurs équins sont les premiers touchés par la hausse de la TVA, c’est intolérable. Un poulain né, élevé et dressé par un professionnel cotisant à la Mutualité Sociale Agricole, dans des herbages éligibles par la Politique Agricole Commune de l’Europe est un Produit Agricole. Il doit bénéficier d’un taux réduit de TVA. »

Patrick Viala, responsable équin Chambre d’agriculture Languedoc Roussillon.

28/11/2013