Une vente aux enchères pendant Jump Est
« Nous présenterons à la vente des chevaux de 3 ans destinés au Cso ainsi que des poulains (environ quinze 3 ans et cinq foals).
Nous souhaitons en priorité, présenter des chevaux issus de nos élevages du Grand Est, permettant ainsi auprès d’une clientèle Française et étrangère, de mettre en valeur la qualité des produits de nos élevages.
Cette vente se fera par l’intermédiaire de l’étude de Maitre Alexandre Landre, commissaire-priseur, installé à Beaune et à Nancy.
Le comité de sélections se compose de : René Lopez, Sofian Misraoui, Jean Michel Gaspard, Alain Fortin et Jean Jacques Guyot.
C’est une première dans notre région qui, nous l’espérons, sera suivie d’effet dans l’intérêt de notre filière et de nos éleveurs.
Il va de soi que la réussite de cette opération dépendra de la qualité génétique et sportive des équidés proposés.
Nous souhaitons, à cette occasion, une vente haut de gamme constituée de chevaux de grandes qualités, seul gage de réussite et de pérennité.
Vous pouvez dès à présent nous faire parvenir toutes informations concernant l’un ou l’autre des chevaux que vous souhaiteriez présenter. (photos, vidéos éventuelles, génétique, lieu où le cheval pourra être visible, examen de santé si vous en êtes possesseur, ainsi qu’une première approche du prix éventuel de retrait) »
Contact : 06 29 24 30 43 mail : jjguyot@sg2c.net
Visibilité et commerce
A l’initiative des ventes Equilor, une belle réussite, il y a une vingtaine d’années à l’écurie de la Fourasse à Lunéville avec Guy Robert, Jean-Jacques Guyot, éleveur et propriétaire de chevaux de sport revient. Libéré de ses activités professionnelles, Il reprend l’initiative et profite de l’opportunité offerte par Jump Est pour tenter de dynamiser le commerce dans une filière Grand-Est qui semble en panne d’initiatives côté élevage. Equilor étaient des ventes de gré-à-gré. Celles-ci seront aux enchères, une formule qui marche bien dans les régions (Bretagne, Normandie entre autres).
Enfin, une bonne nouvelle pour le site de Rosières qui va sortir de sa torpeur pendant trois semaines en mai. Mais après ?
Dix dates sont au calendrier d’un pôle en pleine décroissance pour lequel Jean Rottner, président de la région Grand-Est prédisait l’année dernière « une attractivité aux plans régional, national et européen ». On en est loin. La DSP lancée en 2021 n’ayant pas abouti en raison d’un cahier des charges mal ficelé, une nouvelle DSP sera relancée à la suite d’une nouvelle rédaction du cahier des charges. Le temps passe et faute de pilote, rien ne bouge sur les carrières.
E. R.
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