Vosges : créer une CUMA équine, pourquoi pas ?
Le Syndicat des éleveurs de chevaux des Vosges a proposé fin novembre à la Chambre d’agriculture à Epinal une réunion d’information sur les CUMA équines (Coopérative d’utilisation de matériel agricole) avec Christian Krebs, animateur de
la FDCUMA. Tous les élevages de chevaux adhérents et les centres équestres du département avaient été conviés.
Les grands principes : la CUMA est une coopérative à titre associatif (donc à but non-lucratif) qui met à la disposition de ses adhérents du matériel, des bâtiments (voire un salarié), neuf ou d’occasion, avec engagement pour une machine, pour une durée (cinq ans exemple), pour une quantité sur la durée (nombre d’hectares par an, heures par an, jour par an, etc.), avec une facturation minimale de la quantité prévue dans l’engagement.
« Acheter un matériel en commun oblige une organisation de travail », a ainsi souligné Christian Krebs. Le financement d’un matériel en CUMA ne demande pas autant de trésorerie de départ qu’en achat individuel. Elle permet aussi de bénéficier des dernières technologies en renouvelant son parc de matériels plus rapidement. De plus, il est possible d’obtenir des subventions du Conseil général des Vosges et des prêts bonifiés sous certaines conditions.
Pour ceux qui n’ont pas assisté à cette réunion, il n’est pas trop tard : le Syndicat des éleveurs des Vosges se propose de répondre à vos questions et de vous guider dans vos démarches.
Exemples de matériels possibles en CUMA : valets de ferme, vans motorisés ou tractés, camions, parcs d’obstacles, travail de parage, etc.
Contact : Yannick Ladonnet, président des éleveurs des chevaux des Vosges, au 06 71 33 96 76.
Les grands principes : la CUMA est une coopérative à titre associatif (donc à but non-lucratif) qui met à la disposition de ses adhérents du matériel, des bâtiments (voire un salarié), neuf ou d’occasion, avec engagement pour une machine, pour une durée (cinq ans exemple), pour une quantité sur la durée (nombre d’hectares par an, heures par an, jour par an, etc.), avec une facturation minimale de la quantité prévue dans l’engagement.
« Acheter un matériel en commun oblige une organisation de travail », a ainsi souligné Christian Krebs. Le financement d’un matériel en CUMA ne demande pas autant de trésorerie de départ qu’en achat individuel. Elle permet aussi de bénéficier des dernières technologies en renouvelant son parc de matériels plus rapidement. De plus, il est possible d’obtenir des subventions du Conseil général des Vosges et des prêts bonifiés sous certaines conditions.
Pour ceux qui n’ont pas assisté à cette réunion, il n’est pas trop tard : le Syndicat des éleveurs des Vosges se propose de répondre à vos questions et de vous guider dans vos démarches.
Exemples de matériels possibles en CUMA : valets de ferme, vans motorisés ou tractés, camions, parcs d’obstacles, travail de parage, etc.
Contact : Yannick Ladonnet, président des éleveurs des chevaux des Vosges, au 06 71 33 96 76.
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