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Des hôtes de marque au haras du Pin
Dans le cadre de l’année France-Russie, tandis que le musée présente les chevaux de bronze du sculpteur Eugène Alexandrovitch Lanceray, des chevaux de races russes sont pour la durée d’un été les hôtes d’honneur du Haras du Pin. Après de
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nombreuses années d’abandon qui ont vu en Russie la disparition d’élevages et presque l’extinction de races, le pouvoir montre un intérêt nouveau.
Ainsi, dans la cour du Haras du Pin, sous le soleil bienveillant, on a pu apprécier la gentillesse d’un joli gris de taille moyenne, un Tersky, race facile et polyvalente qui faillit disparaître.
Et puis est apparu Ahtibar, le cheval doré, le superbe Akhal Téké de huit ans. Son propriétaire, M. Prud’Homme, est le vice-président de l’association Akhal Téké France. A raison de 15 naissances en France, il se trouve environ 250 Akhal Téké dans notre pays. Dans leur pays d’origine on les voit sur les hippodromes; ici, ils sont destinés au hunter, au loisir.
Ces chevaux et d’autres dont l’arrivée est imminente, participeront au spectacle des Jeudis du Pin.
Madeleine Bertiaux-Legrand
Ainsi, dans la cour du Haras du Pin, sous le soleil bienveillant, on a pu apprécier la gentillesse d’un joli gris de taille moyenne, un Tersky, race facile et polyvalente qui faillit disparaître.
Et puis est apparu Ahtibar, le cheval doré, le superbe Akhal Téké de huit ans. Son propriétaire, M. Prud’Homme, est le vice-président de l’association Akhal Téké France. A raison de 15 naissances en France, il se trouve environ 250 Akhal Téké dans notre pays. Dans leur pays d’origine on les voit sur les hippodromes; ici, ils sont destinés au hunter, au loisir.
Ces chevaux et d’autres dont l’arrivée est imminente, participeront au spectacle des Jeudis du Pin.
Madeleine Bertiaux-Legrand
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