James Davenport s’impose avec What’s Next
CSI** Auvers (50) 26-28 août Troisième et dernier rendez-vous international de la saison à Auvers en cette dernière semaine d’août, avec un deux étoiles qui a accueilli des couples venus de toute l’Europe (Belgique, Chypre, Espagne, Finlande, Grande-Bretagne, Italie, Pays-Bas,
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Suisse, Suède, etc..), mais aussi d’Argentine, du Brésil et d’Ukraine. Au menu, 18 épreuves dont six réservés aux chevaux de 6 et 7 ans... avec à l’arrivée une programmation musicale très largement composée de Marseillaises, seulement entrecoupées d’une Marcha Real, de deux Brabançonnes et d’autant de God save the Queen, dont un à l’issue de l’épreuve majeure à 1,45 m, le Prix du Conseil régional de Basse-Normandie.
Ils étaient cinquante, représentant onze nations, à prendre le départ de cette épreuve reine. Un parcours conçu par Jean-Paul Lepetit, aux cotes bien respectées et dont les principaux écueils résidaient notamment en un double avec entrée sur mur et en un triple avec oxer sur bidet. Mais curieusement, c’est une barrière d’apparence anodine, judicieusement placée aux abords du paddock, qui a causé la perte du plus grand nombre des favoris (Annick Chenu, Patrice Delaveau, Nicolas Delmotte ou encore Maximilien Lemercier, rien que cela...). Les vainqueurs du Grand National de Saint-Lô, Pénélope Leprévost et Mylord Carthago*HN, s’étant laissés piéger pour 40/100e, ils n’étaient que six à avoir gagné leur billet pour le barrage : trois Frenchies pour autant d’étrangers.
C’est à la Suédoise Angelie Von Essen et Werly Chin de Muze BWP (Nabab de Rêve) que revenait le rôle d’ouvreuses du barrage, avec à l’arrivée 4 pts en 47’’58. Les valeurs françaises trouvaient quelque crédibilité quand Philippe Rozier et Jadis de Toscane (Quidam de Revel) bouclaient le premier sans faute en 45’’07, même s’il semblait y avoir encore de la place. Dans la foulée, Guillaume Foutrier semblait avoir fait le plus difficile avec Klaire d’Honvault (Clair de B’Neville) en améliorant ce temps de plus d’une demi-seconde (44’’32). C’était faire trop de peu cas du ‘‘fighting spirit’’ de James Davenport qui, au terme d’un sans-faute en 44’’08 avec What’s Next, permettait à l’Union Jack de flotter une dernière fois en 2008 sur Auvers.
Daniel Sebire
Ils étaient cinquante, représentant onze nations, à prendre le départ de cette épreuve reine. Un parcours conçu par Jean-Paul Lepetit, aux cotes bien respectées et dont les principaux écueils résidaient notamment en un double avec entrée sur mur et en un triple avec oxer sur bidet. Mais curieusement, c’est une barrière d’apparence anodine, judicieusement placée aux abords du paddock, qui a causé la perte du plus grand nombre des favoris (Annick Chenu, Patrice Delaveau, Nicolas Delmotte ou encore Maximilien Lemercier, rien que cela...). Les vainqueurs du Grand National de Saint-Lô, Pénélope Leprévost et Mylord Carthago*HN, s’étant laissés piéger pour 40/100e, ils n’étaient que six à avoir gagné leur billet pour le barrage : trois Frenchies pour autant d’étrangers.
C’est à la Suédoise Angelie Von Essen et Werly Chin de Muze BWP (Nabab de Rêve) que revenait le rôle d’ouvreuses du barrage, avec à l’arrivée 4 pts en 47’’58. Les valeurs françaises trouvaient quelque crédibilité quand Philippe Rozier et Jadis de Toscane (Quidam de Revel) bouclaient le premier sans faute en 45’’07, même s’il semblait y avoir encore de la place. Dans la foulée, Guillaume Foutrier semblait avoir fait le plus difficile avec Klaire d’Honvault (Clair de B’Neville) en améliorant ce temps de plus d’une demi-seconde (44’’32). C’était faire trop de peu cas du ‘‘fighting spirit’’ de James Davenport qui, au terme d’un sans-faute en 44’’08 avec What’s Next, permettait à l’Union Jack de flotter une dernière fois en 2008 sur Auvers.
Daniel Sebire
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